L’utilisation de la fourrure a toujours été dénigrée par les protecteurs des droits des animaux. De fausses idées circulent sur cette matière, qui tient pourtant une place privilégiée dans la haute couture. Les croyances populaires dans le domaine de la fourrure sont infondées et démontrées par des sources fiables, à travers cet article. La désinformation à l’encontre de la fourrure, ainsi que la victimisation des consommateurs « avec des photos chocs et ou photomontages cruels » traumatisent toute la population. Pas très difficile pour les opposants anti-fourrure de déboulonner l’image noble de la fourrure et n’ayant même pas besoin d’argumenter, sur la « véracité du sujet », exploitant les sentiments de martyr et désorientant par obligation le choix des consommateurs.
Voici les plus courantes.
Sommaire
1- Le commerce de la fourrure n’est pas réglementé
Au contraire, le commerce de la fourrure est très réglementé à travers des lois et règlements régionaux, nationaux, et internationaux. Les textes couvrent non seulement le bien-être de l’animal, mais également l’impact environnemental de la chasse. Les acteurs du commerce travaillent de pair avec les gouvernements pour lutter contre le mauvais traitement des animaux.
2- L’industrie de la fourrure menace les espèces animales
La Fédération Internationale de la Fourrure est un membre votant de l’IUCN (International Union for the Conservation of Nature and Natural Resources) depuis 1985 et parraine les projets de conservation de l’organisme. De plus, l’industrie de la fourrure soutient la CITES (Convention on International Trade in Endangered Species) depuis sa création dans les années 70.
3- L’élevage dans l’industrie de la fourrure nuit à l’environnement
Prenons l’exemple de l’élevage de visons. Les animaux sont essentiellement nourris avec des restes en provenance des abattoirs, des usines de poissons et de production de sous-produits alimentaires. En d’autres termes, l’élevage recycle les déchets destinés aux sites d’enfouissement. Cette activité produit de l’engrais organique et du biocarburant de deuxième génération, plus respectueux de l’environnement. Les carcasses d’animaux sont utilisées pour le chauffage et la production de ciment.
4- Les animaux sont maltraités dans les fermes
Non seulement des normes sont à suivre, mais la qualité de la fourrure dépend des conditions de vie des animaux. Un éleveur n’a donc pas intérêt à les maltraiter. Au contraire, il dépense beaucoup pour leur donner ce qu’il y a de meilleur dans l’alimentation, ainsi qu’une bonne installation. De la même manière, la mise à mort est rapide et indolore.
5- Les animaux piégés pour leur fourrure souffrent pendant plusieurs jours
Il y a des normes qui régissent les pièges. Elles sont inscrites dans le cadre de l’Accord sur les normes internationales de piégeage sans cruauté (ANIPSC). L’industrie de la fourrure a participé à l’établissement de ces règles.
6- La fausse fourrure est éco-responsable
La fausse fourrure est fabriquée à partir de produits dérivés du pétrole, tandis que la fourrure naturelle provient d’une ressource renouvelable, d’une durée de 20 à 30 ans.
7- Les animaux sont écorchés vifs
Cela est illégal dans les pays producteurs de fourrure. L’industrie de la fourrure encourage d’ailleurs les gouvernements à appliquer des lois anti-cruauté. Il est difficile et dangereux d’écorcher un animal vivant.
L’approche intellectuelle de la fourrure n’est pas identique selon nos origines ou domiciliation géographique. Un russe ou un canadien ne s’habillera pas comme un égyptien ou un portugais … N’oublions pas que le commerce et le travail de la fourrure sont millénaires. En occident, le cuir comme la fourrure sont des signaux qui démarquent les classes sociales. ( produit de bonne manufacture ou secteur luxe ) En conclusion, on assume ou pas le port de la fourrure, avec parfois un peu de provoc’, comme dans le dernier clip de Maitre Gims !
Maître Gims :
Passe avant minuit.
Je vais t’faire vivre un dream.
Avance sur la piste.
Les yeux sont rivés sur toi.
Les habits qui brillent tels Les Mille Et Une Nuits.
Paris est vraiment ma-ma-ma-magique.