Culture Biker, Conseils Cuir et Équipement Moto
En effet, lorsque c’est les soldes, vous pouvez avoir l’impression d’avoir du pouvoir d’achat, mais ce n’est pas le cas. Si c’est la crise pour vous le reste de l’année, se sera toujours le cas pendant les soldes. N’oubliez pas vos priorités, et ne vous mettez pas dans la tête que vous allez réaliser de grandes économies. [Lire plus…]
Quelle matière a traversé les époques, indémodable, symbole de chaleur et de confort douillet ? La fourrure. Elle nous a subjugués, symbole d’une féminité sublimée, toute d’élégance sur les épaules dénudées de Grace Kelly, enveloppe sensuelle d’une Marylinn incandescente…
Fourrure animale, qui suite à la prise de conscience de l’opinion publique des problèmes éthiques liés à la production de fourrure animale, a dû peu à peu céder la place à la fourrure synthétique. Les créateurs et magazine de mode qui ont persisté à mettre la fourrure à l’honneur se sont fait attaquer de toute part, et la fausse fourrure a su s’engouffrer dans la brèche et glaner ses lettres de noblesse.
Les organismes de protection de la nature ont fait la lumière depuis plusieurs années sur la maltraitance animale à l’origine des volumineuses fourrures que les belles dames aiment tant à porter.
Son procédé de fabrication pose question : les animaux sont conditionnés dans des élevages, puis dépecés, enfin leur peau est tannée et nettoyée.
Le développement des médias a permis à une frange de population toujours plus nombreuse de découvrir la cruauté du procédé, et nombre d’icônes de la mode et de célébrité se sont engagées contre la fabrication de fourrure animale.
Dans les années 80, un substitut à la fourrure, la « fausse » fourrure, est apparu. Depuis, la demande croissante des consommateurs a favorisé l’innovation technologique dans ce secteur.
Les progrès des fabricants de fourrure synthétique a permis la création de matières qui ressemblent à s’y méprendre à leur modèle naturel.
Au toucher, au niveau confort, et chaleur, une fourrure synthétique de qualité est devenue la jumelle de la fourrure animale. Que les puristes qui rechignaient à en acquérir il y a quelques années soient désormais rassurés : seul un expert saura relever les infimes différences qui les séparent désormais.
Les créateurs ne s’y sont pas trompés : toutes les marques de prêt à porter, des plus cheap au plus branchées, proposent cet hiver leurs fourrures synthétiques.
Ell envahit peu à peu tous les secteurs du marché : vous pouvez trouver des manteaux, des vestes en fausses fourrures, des gilets sans manches, des parkas et blousons doublés de fourrure synthétique, des bonnets et des chapkas, des gants et des bottines…la fausse fourrure s’invite partout et ose de plus en plus.
La fourrure animale se gardait jalousement dans sa garde-robe dans l’attente de la grande occasion. Elle vous accompagnera bien sûr toujours à vos folles soirées, mais désormais vous pouvez la porter de jour comme de nuit, l’amener au travail, flâner avec dans la rue.
La fourrure animale présente des teintes se limitant bien entendu au coloris naturel du pelage des animaux dont elles proviennent.
La fausse fourrure peut se teindre, et des couleurs originales sont apparues, du bleu électrique au rose fushia, qui associées malicieusement à un jean skinny et des bottes rock’n roll vous assureront un look hipster ravageur.
Vos mouvements ne sont pas entravés, elle est douce au toucher et agréable à porter. Des modèles extrêmement légers de belle facture sont apparus cette année, qui vous permettent même de la garder dans votre garde-robe toute l’année, et plus seulement pour les mois les plus froids de l’hiver.
Que vous soyez adeptes d’un look casual, branché ou élégant, selon la façon dont vous l’accessoirisez, votre fourrure synthétique deviendra la pièce maîtresse de votre garde-robe.
Évitezcependant de surcharger le reste de votre habillement : une robe à paillettes ne sera pas sa meilleure amie !
En revanche, jeans et pantalon de cuir, t-shirts ou tops unis et bottes mi-mollet , par leur simplicité, la mettront parfaitement en valeur.
Si vous êtes un peu rondes, vous préférerez les fourrures synthétiques courtes à poil ras. Plus grandes, vous pouvez choisir le manteau 3/4 à poils longs…
Et si vous n’osez pas encore vous lancer dans l’aventure, vous pouvez commencer par la jolie étole ou les gants en fausse fourrure, qui vous aideront peut-être plus tard à passer le cap… Mais ne portez jamais deux pièces en fausses fourrures en même temps, trop c’est trop !
Il est très compliqué de laver une fourrure naturelle. Au contraire une fourrure synthétique ne requiert que quelques gestes très simples.
L’idéal est de la laver dans une eau savonneuse à peine tiède, puis de la rincer avec soin. Evitez de la tordre, ça la déformerait. Mieux vaut la déposer entre des serviettes éponges pour l’éponger. Puis laisser la sécher naturellement à plat.
Evitez si possible la machine à laver. Mais si vous êtes pressés, choisissez une lessive liquide sans adoucissant, utilisez un programme laine, et la formule d’essorage la plus douce.
La fourrure synthétique est bien moins onéreuse que la fourrure animale. Son procédé de fabrication est moins coûteux, et la différence de coût se répercute bien entendu sur les prix de vente en boutique.
Bien sûr, comme toujours, si vous souhaitez une fausse fourrure de qualité, méfiez-vous des prix trop attractifs : si vous voulez qu’elle ressemble à de la vraie fourrure, et ait les mêmes vertus esthétiques, de douceur et de chaleur, mieux vaut débourser quelques euros de plus, et éviter de se retrouver vêtu d’une pâle imitation qui vous décevra…
La fausse fourrure, qui il ya quelques années, n’était encore qu’une pâle copie de son modèle, a sû conquérir le milieu de la mode et affirmer son identité propre, plus branchée, plus abordable et parfois très audacieuse. Il ne vous reste plus qu’à choisir le modèle qui vous fera chavirer !
Les soldes sont une période très importante pour tous les magasins, dont ceux de prêt-à-porter. En effet, c’est l’occasion idéale pour réaliser un excellent chiffre d’affaires, et vendre des invendus à bas prix. Cependant, les soldes sont réglementés par la loi, et les enseignes doivent scrupuleusement suivre ces indications à la lettre. Des abus sont souvent constatés, que ce soit sur internet, ou en magasin physique.
Tous les commerçants sont autorisés à pratiquer des soldes deux fois par an, en fonction des dates fixées par la loi. Il existe donc les soldes d’hiver et les soldes d’été. Ces soldes sont très encadrés et des contraintes doivent être suivies à la lettre.
Chaque période de soldes dure 6 semaines, sauf pour certaines zones où des dérogations sont possibles. Les soldes d’hiver doivent débuter au cours du mois de janvier, à partir de 8 heures du matin, pas avant. Les soldes d’été doivent eux débuter au mois de juin, à 8 heures également. Des dérogations sont encore possibles pour les dates, mais uniquement pour certains pays frontaliers en particulier. Aucune autorisation n’est nécessaire pour effectuer sa période de soldes dans son enseigne.
Concernant les produits en soldes, ils doivent être présents dans le magasin depuis plus d’un mois. Cela signifie qu’il est totalement interdit de s’approvisionner pour les soldes. Ces produits doivent donc impérativement être mis en vente avant que les soldes ne débutent. Le client doit également pouvoir facilement distinguer les produits soldés, de ceux qui ne le sont pas. En général, cela s’affiche donc grâce à l’apposition d’étiquettes colorées. Les produits doivent obligatoirement posséder les mêmes garanties que les produits non soldés. Ainsi, si un produit comprend un vice caché, il est totalement dans l’obligation d’échanger le produit, comme le stipule la loi.
Concernant le tarif, le vendeur doit obligatoirement indiquer le prix de référence avant la remise des soldes. Il est donc interdit d’augmenter le tarif de vente initial avant les soldes pour faire croire à une superbe offre. Les prix de référence doivent impérativement être justifiés en cas de contrôle.
Concernant la publicité en rapport avec les soldes. Cette dernière doit obligatoirement comprendre la date initiale des soldes, mais également les produits concernés.
Pour finir, il faut savoir que toutes les enseignes sont dans le droit de pratiquer des périodes de soldes en dehors des périodes officielles au niveau national. Ces promotions occasionnelles ne sont soumises à aucune autorisation, mais le vendeur ne doit pas employer le terme « soldes » pour justifier ses remises.
Lorsque les soldes arrivent, vous pensez toujours pouvoir réaliser de belles affaires, cependant ce n’est pas toujours le cas. En effet, de nombreux abus, totalement interdits par la loi sont pratiqués par les vendeurs. Le principal problème auquel est souvent confronté le consommateur est le prix de référence. Cela signifie tout simplement que le tarif de départ a été augmenté afin de vous faire croire à une grande remise de leur part. Finalement, cette réduction à laquelle vous pensez avoir le droit, n’en est pas une. Pour cela, il est donc très important de faire attention aux prix de référence, et au prix après la remise. La réduction peut parfois être alléchante, mais le prix final ne le sera pas forcément. N’hésitez pas à aller repérer les vêtements qui vous intéressent en magasin avant les soldes. Cela vous permettra de savoir si le prix de référence est le bon.
Le deuxième abus auquel le consommateur peut être confronté est le niveau de remise. En effet, les enseignes ne se gênent pas pour pratiquer de la publicité mensongère. Certaines remises sont annoncées « jusqu’à – 70 % », alors que ce n’est pas le cas une fois à l’intérieur du magasin. Le troisième abus concerne ce qui se passe après la vente. Certaines enseignes se permettent d’affirmer que leurs produits ne seront ni repris ni échangés après leur achat. Cela est totalement interdit par la loi, et vous avez le droit de faire valoir votre droit de vice caché. Si vous achetez en ligne, sachez que vous disposez de sept jours de rétractation pour annuler votre achat, y compris pendant les périodes de soldes. Ne vous faites donc pas avoir, vous conservez vos droits, même durant les soldes annuels. Si l’on vous refuse votre bon d’achat, alors qu’il n’est indiqué nul part que cela ne fonctionne pas sur les produits soldés, vous êtes dans votre droit de l’utiliser, que cela leur plaise ou non.
Avec l’arrivée de tous ces abus sur le marché du prêt-à-porter durant les périodes de soldes, les acheteurs sont moins présents. Il y a quelques années, c’était véritablement la guerre pour acheter un produit durant les soldes, mais ce n’est plus le cas. À l’heure actuelle, les enseignes réalisent la plus grande partie de leur chiffre d’affaires durant les trois ou quatre premiers jours de soldes.
La vente en ligne de prêt-à-porter à également bouleversé les ventes des magasins physiques.
Pour résumer, il est nécessaire d’être vigilant en tant que consommateur. Les soldes ne sont plus ce que c’était auparavant. Les abus sont bien trop présents, et les vendeurs ne se gênent pas pour arnaquer leurs clients, même les plus fidèles. Soyez plus malin que le vendeur et effectuez votre repérage avant le début des soldes, cela vous permettra de réaliser de belles affaires, et d’éviter les arnaques. Vous êtes là pour réaliser des économies sur le prêt-à-porter, pas pour en dépenser plus.
Faites également attention sur internet, cela est encore plus dangereux, car vous n’avez pas les produits en face de vous. De plus, les prix peuvent être relativement vite modifiés, uniquement grâce à un clavier. Soyez donc plus malin !
Dès ce dimanche 20 Novembre, un nouveau décret contraint les conducteurs de deux-roues, scooters, et moto à porter des gants homologués. Les enfants passagers et les scooters à trois ou quatre roues sont aussi concernés par cette disposition visant à renforcer la sécurité routière, et les quads n’ont pas été oubliés… En fait, sont concernés les conducteurs de véhicules dépourvus de portières et de ceintures de sécurité.
En 2015, le Comité Interministériel de la Sécurité Routière a élaboré un panel de mesures destinées à réduire le nombre d’accidents de la route. Ce décret en découle directement.
Force est de constater que les motards sont particulièrement exposés aux accidents, et leur équipement constitue leur seule protection. Le port du casque obligatoire n’est que la première étape d’un processus qui mènera certainement d’ici quelques années à imposer d’autres équipements de protection homologués telles que le blouson et les dorsales, ou les bottes renforcées.
Les mains du motard particulièrement vulnérables, en cas de chute. Notre premier réflexe est de nous en servir pour nous protéger, et sans protection, les conséquences peuvent êtres très graves : brûlures, fractures etc… Selon le Registre du Rhône, les blessures aux mains ou aux poignets concerne près de 20 % des accidentés en deux-roues.
Les gants qui ne sont pas spécifiquement conçus pour la pratique de la moto sont désormais à bannir. Vos gants doivent être certifiés CE. La présence de l’’étiquette norme CE sur vos gants est désormais une obligation !
Les gants, pour être homologué ont dû satisfaire aux conditions exigées lors de tests concernant la résistance : à l’abrasion, à l’arrachement, à l’éclatement, aux déchirements et coupures et leur système de maintien. Ils sont renforcés au niveau de la paume de votre main, et de vos articulations, intègrent des coques qui protègent vos phalanges et recouvrent le poignet. Ils disposent aussi d’une patte de serrage.
La sanction sera moins lourde que celle concernant le port du casque (Les mains ne sont pas des organes vitaux). Vous devrez payer une amende de 68 euros, ramenée à 45 euros si vous réglez rapidement, que vous soyez conducteur ou passager. Et les conducteurs d’une 125 cm3 et plus perdront un point sur leur permis de conduire, qu’ils ne récupèreront qu’au bout de deux ans sans infraction.
L’équipement du motard représente un investissement conséquent, et ce décret a fait des mécontents. Cependant une large majorité de motards est déjà consciente de la nécessité de protéger ses mains, le froid les y contraint de toute façon.
Quant à l’aspect financier, il est certes contraignant et peut même devenir dissuasif, mais que dire des frais d’hospitalisation et des séquelles résultant de blessures qui auraient pu être évitées ou au moins atténuées par un équipement adéquat…
Cette réglementation était envisagée depuis plusieurs année, et son application ne peut constituer une surprise que pour les motards encore peu expérimentés.
Finies les belles ballades sous la tiédeur du ciel d’automne, l’hiver est là !
Et avec lui les ennemis du motard : les intempéries et le froid.
Le froid doit être combattu au mieux, car plus qu’un désagrément, il représente un véritable danger pour le motard : il l’engourdit, raidit ses muscles et rend la conduite inconfortable donc périlleuse. La température ressentie en moto, du fait de votre vitesse, est de plusieurs degrés inférieure à la température réelle.
Pour préserver votre chaleur corporelle et limiter les désagréments hivernaux, vous devez vous équiper au mieux, et le choix de votre blouson ou de votre veste est bien-sûr primordial.
Votre blouson isole le haut de votre corps, et donc cinq de vos six organes vitaux : votre cœur, vos poumons, votre foie, votre pancréas et vos reins.
C’est évidemment la partie de votre corps que vous vous devez de protéger en priorité.
Quelles qualités doit donc posséder ce précieux blouson ?
Avant tout, évitez les blousons courts l’hiver : en vous penchant, vous découvrez le bas de votre dos. Rien de plus désagréable qu’un petit courant d’air glacé au niveau des reins.
Choisissez de préférence un blouson (ou une veste) long : certaines vestes textiles peuvent être raccordées à votre pantalon par un zip, et assurent une fermeture hermétique qui résolvent ce problème.
Votre blouson doit être pratique, en disposant de poches assez nombreuses et étanches (à l’extérieur, mais aussi à l’intérieur) et assez large pour cumuler plusieurs sous-couches de vêtements sans gêner vos mouvements.
Lorsque vous essayez un modèle, tâchez de reproduire les différentes positions que vous adoptez sur votre moto : couvrez-vous comme pour une sortie, et bougez, pliez les bras, tournez la tête, vérifiez qu’à aucun moment vous ne vous sentez gêné ou comprimé.
Si votre porte-monnaie le permet, choisissez un modèle équipé de doublures thermiques amovibles, qui vous permettront de vous adapter aux variations climatiques.
L’autre avantage, non négligeable, de ces doublures, est l’isolation supplémentaire qu’elles vous procurent. Vérifiez qu’elles proposent des points de serrage élastiques dans le dos et au niveau des poignets, là encore pour bloquer le froid.
Si votre blouson ne dispose pas de ces doublures, superposez des vêtements, techniques de préférence (Évitez le coton, qui reste humide et ne sèche pas), et offrez-vous une bonne polaire. Mais attention de ne pas trop vous couvrir non plus : il vous faut éviter de transpirer. La transpiration refroidit votre température corporelle.
Choisissez un modèle doté d’un col montant, doublé si possible Essayez-le avec votre casque afin de vérifier qu’il ne vous gênera pas pendant votre conduite. Il est essentiel de garder votre cou au chaud, les artères qui irriguent votre cerveau doivent être protégées en priorité.
Si votre blouson n’a pas de col montant, il vous restera la solution du tour de cou polaire, doté d’une membrane respirante et imperméable pour vous protéger du froid.
Le vent s’engouffre dans n’importe quel interstice, vous ne devez rien laisser au hasard. Un zip mal protégé est source de désagrément et d’inconfort. Vérifiez en particulier le zip de fermeture principal : il doit impérativement être pourvu d’un rabat extérieur, et d’une bonne couche d’isolant thermique à l’intérieur.
Soyez aussi vigilant quant aux coutures de votre blouson. Celles-ci n’ont pas d’incidences sur votre isolation, mais optez pour un blouson pourvu de double-coutures de préférence, ou aux coutures invisibles. En cas de chute, votre blouson ou votre veste résisteront mieux à la déchirure.
Le diable est dans les détails… Oubliez les fermetures à pression, que vous ne pourrez pas régler. Préférez-leur les scratchs ou velcro, ou encore des fermetures éclairs bien ajustées. L’air froid ne se glissera pas entre vos gants et vos poignets.
Le grand dilemme du motard… Allez-vous opter pour l’indémodable cuir, ou pour une veste ou un blouson textile, désormais très techniques ?
Les deux matières présentent leurs avantages et leurs inconvénients. Un bon cuir est chaud, il coupe bien le vent et reste la meilleure protection en cas de chute, de par sa résistance à l’abrasion. Le textile, plus souple et confortable est moins résistant, mais plus étanche.
Que vous choisissiez un blouson en cuir ou un textile, assurez-vous qu’il soit bien équipé de coques de protection et d’une dorsale homologuées CE, indispensables pour vous protéger en cas d’accident, et qui font aussi office de barrière supplémentaire contre le froid.
L’arrivée de l’hiver est aussi synonyme d’obscurité prolongée. Si vous êtes amenés à rouler régulièrement de nuit, il peut être utile de choisir un blouson pourvu d’inserts fluorescents, qui amélioreront votre visibilité la nuit.
Votre lutte contre le froid et le vent ne s’arrête pas au choix de votre blouson. Vous devez aussi choisir soigneusement un pantalon imperméable, des bottes hautes et étanches et choisir des gants de qualité. Petit détail : ne glissez pas vos gants dans les manches de votre blouson, l’air s’y faufilerait aussi. Et ne négligez aucun détail : adoptez les sous-vêtements des skieurs, et choisissez une bonne paire de chaussettes hautes !
Il existe beaucoup d’accessoires très utiles qui vous permettront de compléter votre tenue, et d’optimiser votre confort.
Choisissez un tour de cou thermique polaire, pourvu d’une membrane élastique et respirante. Il existe aussi des vestes chauffantes qui complèteront la protection apportée par votre blouson, et des tabliers étanches pour vos déplacements en ville. Très pratiques aussi, même si peu esthétiques : les manchons pourvus de renforts, qui accentueront la protection de vos mains en cas de chute.
Et n’oubliez pas : si malgré toutes vos précautions, le froid et le vent ont raison de votre résistance au cours d’une chevauchée glaciale, le meilleur ami du motard reste une bonne pause-café au chaud pour vous remettre de vos émotions !
Qui n’a pas en tête Marlon Brando enfourchant sa Thunderbird de 1950, inoubliable bad boy qui immortalisa l’image du motard tout de jean et de perfecto ? Le succès du blouson en cuir ne s’est jamais démenti depuis, mais il a largement évolué, et que dire du reste de l’équipement du motard, bottes, pantalon, gants et autres accessoires… ?
La moto est un sport, et un sport de vitesse, un sport de plein air. Et depuis quelques décennies, dans l’optique d’améliorer les performances sportives des athlètes, les chercheurs et chimistes se sont totalement investis dans l’industrie de l’habillement du sportif, et l’équipement du motard a été l’un des premiers à en bénéficier.
Comme le skieur, le motard est confronté à la vitesse et au froid ; comme le pilote de formule un, il est confronté au raidissement de ses muscles. Plus encore que le hockeyeur, le cycliste ou le cavalier, il risque de lourdes chutes aux conséquences graves. Tout un panel de technologies a vu le jour, destinées à combattre de façon de plus en plus efficace les inconforts et les risques auquel le motard est confronté.
Aucune chute en moto n’est anodine, et si une conduite prudente reste le meilleur moyen de les prévenir, la sensation d’être en sécurité dans son équipement lorsque l’on enfourche sa moto est un facteur psychologique essentiel.
Même si la législation n’a toujours pas rendu obligatoire le port de coques de protection et de dorsales, les équipementiers sont depuis plusieurs années conscients de leur importance, et les ont incorporées avec plus ou moins de rigueur et d’efficacité dans la conception des vêtements moto. Bien souvent, la plaque de mousse intégrée est peu solide et protectrice, mais les plus scrupuleux suivent les normes européennes EN et incorporent des matériaux qui ont été testés contre l’impact, l’abrasion, la perforation, le déchirement et l’éclatement. Les industriels créant ces protections travaillent en permanence sur l’amélioration de la résistance des matériaux utilisés, et sur leur moindre épaisseur.
En ce qui concerne les textiles, de gros progrès ont été faits aussi. Par exemple le Kevlar, célèbre pour sa résistance (il est utilisé pour la fabrication des gilets pare-balles) a été incorporé à un textile pour former l’Armacor qui démontre une forte résistance à l’abrasion et au déchirement.
La démarche des industriels est pourtant complexe, car les progrès dans la recherche de protection peuvent être contradictoires avec ceux réalisés dans la quête de confort du motard. En effet, la chimie textile doit concilier la quête de résistance et de solidité, avec celle de souplesse, de respirabilité et d’imperméabilité
La chimie textile s’est intéressée aux éléments constitutifs de tous textiles : les fibres. Les fibres naturelles présentent pour certaines de l’intérêt, mais ce sont surtout les fibres synthétiques qui ont ouvert le champ à l’apparition de nouveaux matériaux et de technologies innovantes. Les fibres synthétiques sont constituées de polymères, sur lesquels interviennent les chimistes avant tissage, afin de modifier leurs propriétés mécaniques et physiques. L’enjeu du travail sur la structure de ces fibres et sur les composites créés à partir de ces polymères est le combat contre le froid et la chaleur, contre l’humidité : le corps régule sa propre température, et dégage de la transpiration. Le travail de ces fibres synthétiques permet d’améliorer la régulation thermique et l’isolation.
C’est ainsi que les chimistes se sont penchés sur les complexes enjeux de la thermo-régulation, la respirabilité et le séchage, l’étanchéité etc…
Les fibres les plus fréquemment utilisées et travaillées sont entre autres :
– le polypropylène qui grâce à sa faible densité apporte de la légèreté, et rejette l’eau, donc permet au vêtement de sécher vite.
– les para-aramides dont l’un des plus connus et le plus couramment utilisé est le Kevlar, très résistant à la chaleur et à l’abrasion.
– Les méta-aramides, dont le Nomex qui retarde la diffusion de la chaleur, très utilisé en F1, et intégré à un certain nombre de tours de cou ou de pantalon motard haut de gamme.
– Les industriels ont aussi développé des techniques de tissage de fibres invisibles à l’œil nu, les micro-fibres, qui ont permis de gros progrès en termes de légèreté des tissus, de confort, et aussi d’imperméablité.
– Certaines fibres dites « à canaux de surfaces », évacuent la transpiration. Le Coolmax par exemple, qui sèche vite et donne une sensation de « frais », est très apprécié dans les doublures de blouson.
– Les fibres creuses sont d’excellents isolants, utilisés dans tous les secteurs textiles. Le Thermolite par exemple se retrouve dans des sous-gants, plastrons, cagoules etc…
Les textiles imper-respirants, comme leur nom l’indique, sont à la fois imperméable à l’eau de pluie eau sous sa forme liquide), et perméables à la transpiration (eau sous sa forme gazeuse). L’idée est très simple, mais brillante : le maillage de ces membranes est assez serré pour bloquer les gouttes de pluie, qui ne peuvent traverser. Mais il est assez large pour laisser passer la vapeur d’eau.
Le succès de ces membranes a été immédiat dans le monde du sport. Qui aujourd’hui ne connait pas le Gore-Tex ? Le motard retrouvera ces membranes, généralement dans la doublure, ou sous la surface extérieure (cuir, textile) de son blouson, ses gants, ses bottes etc…
Aramide : fibre synthétique offrant une très bonne résistance à l’abrasion et aux chocs.
Clarino : cuir synthétique utilisé pour les gants et les bottes, présentant les mêmes qualités que le cuir naturel, mais un avantage supplémentaire : il reste souple même après avoir été mouillé.
Cordura : fibre opposant une belle résistance à l’abrasion et une protection efficace face au vent.
Cuir « pleine fleur » : c’est le plus résistant des cuirs. Il a gardé son épaisseur d’origine.
Cuir de bœuf : le plus couramment utilisé pour la confection, il résiste bien à l’abrasion.
Cuir de chèvre : plus fin et souple que le cuir de bœuf, il est aussi un peu plus fragile. Son étanchéité au vent en fait un matériau de choix pour la confection des gants.
Cuir de kangourou : cuir souple et résistant à la déchirure, il est très apprécié pour la fabrication de gants de course.
Cuir lisse : aussi appelé « crouté enduit », ce cuir de bœuf de haute qualité est recouvert d’un imperméabilisant lui conférant une belle étanchéité.
Cuir nappa : cuir traité en surface de façon à réduire ses pores. Il est plus imperméable et se tache moins qu’un cuir classique.
Cuir Pittards : les cuirs Pittards, créés par l’entreprise homonyme, présentent une belle imperméabilité, sont souples et respirants.
D-30 : matériau présentant une texture proche du gel, déformable sous une pression constante, mais qui se durcit sous l’effet d’un impact. Très fin, il est beaucoup utilisé pour les protections dorsales.
Dynatec : textile à base de polyamide et d’élasthanne.
Dyneema : fibres durables, légères et résistantes à l’abrasion, utilisées pour la confection de gants.
Élasthanne : fibre élastomère très extensible (comme le Lycra).
Flex Tenax : textile polyamide pourvu de 10% d’élastomère offrant résistance et élasticité. On le retrouve dans certains pantalons de motard.
Keproshield : textile synthétique cumulant des fibres kevlar, polyamide et coton pour une grande résistance à l’abrasion. Elle constitue la couche supérieure de certains blousons
Kevkor : matériau mêlant du kevlar et du cordura, utilisé pour renforcer les jeans moto à usage citadin.
Hipora : membrane microporeuse imperméable et respirante. Sa résistance au vent en fait une matière très appréciée dans le confection des gants.
Lorica Matériau : textile synthétique proche du cuir, plus étanche et respirant, très résistant.
Outlast : procédé accordant aux fibres synthétiques des vertus de thermo-régulation et de résistance à l’abrasion.
ProSafe : à base de polyuréthane, elle a été conçue pour absorber les chocs. On la retrouve dans les coques et les dorsales.
Primaloft : isolant synthétique créé par la NASA pour un usage dans l’espace, extrêmement isolant et coupe-vent.
PVC : polychlorure de vinyle, célèbre pour ses vertus d’étanchéité.
Softshell : tissu composé d’une membrane imperméable, respirante et d’une couche intérieure en micro-polaire. Coupe-vent et imperméable, il est utilisé pour un certain nombre de vestes.
Taslan : traitement appliqué sur des fibres synthétiques ou naturelles, leur permettant de résister à la pénétration de l’eau.
Teflon : polymère thermostable, il est très isolant et résistant à l’abrasion.
Thermolite : gamme de matériaux isolants offrant de bonnes performances thermiques en milieu humide. Il est apprécié notamment pour la fabrication des bottes.
Thinsulate : fibres synthétiques microfibres, aux vertus isolantes et évacuant bien la transpiration.
Une moto ou un autre deux-roues, vous le savez, n’existe pas sans l’équipement du motard. Conduire une moto, c’est sérieux. Une rencontre avec le bitume, même à faible vitesse, peut être très douloureuse. 70 % des conducteurs en ont fait l’expérience. La logique incite donc à la prudence, à titre préventif. Considérez que votre équipement, c’est à la fois votre ceinture de sécurité et votre carrosserie. La loi impose un casque homologué, une paire de gant homologuée et un gilet jaune, pour être visible par mauvais temps. Mais le reste… est indispensable !
Le casque est un équipement relativement cher, et l’assurer peut être une bonne option. L’assurance peut couvrir seulement l’accident, ou la perte, le vol, l’incendie ou la simple détérioration. Le tarif sera variable en fonction de votre assureur. Il n’est pas rare que votre équipement ne soit pas assuré, si vous êtes responsable d’un accident. De même, c’est l’évidence, si vous conduisez sans être en possession de vos moyens, après avoir consommé de l’alcool, de la drogue, ou des médicaments provoquant la somnolence.
Il existe des assurances pour le casque, et des assurances pour l’équipement conducteur complet.
Si vous êtes un grand rouleur, l’assurance du casque est un bon choix. Statistiquement, vous avez des risques de choc, même bénins, y compris en ville. Si vous roulez plutôt en scooter en portant un jet, l’assurance peut se révéler trop chère. Mais il faut aussi tenir compte de votre personnalité : avez-vous tendance à être distrait ? Avez-vous failli avoir plusieurs accidents depuis un an ? Dans ce cas, l’équipement complet prend tout son intérêt, et l’assurance s’avère un bon choix.
De plus, après un choc, un casque est inutilisable. Il a rempli sa fonction, en amortissant le choc, donc son agencement intérieur est détruit. La calotte interne, déformée, n’est plus à même de protéger uniformément le crâne.
Tout dépend de son prix. Si vous portez un blouson de cuir, ou un blouson mixte en cuir et protection kevlar, l’assurance n’est peut-être pas indispensable. En revanche, si vous possédez un blouson sophistiqué, l’assurer peut être important en raison de son prix. Par exemple, un gilet coqué avec dorsale et airbag pour protéger les cervicales.
Ces trois équipements sont très exposés, mais rarement inutilisables en cas de choc. Demandez à vos amis motards qui ont déjà chuté, et renseignez-vous sur les forums. En cas de chute ou de choc, en dehors du casque, l’équipement peut encore vous protéger. Comme toujours en matière d’assurance, la décision est pondérée, entre le risque de destruction de l’équipement, et son coût par rapport au prix d’achat.
En dehors de l’équipement du motard, il existe aussi de nombreux équipements pour la moto elle-même : pare-brise, sacoche, top-case, poignées chauffantes, tête de fourche, protection contre la pluie… Pour ces équipements, il existe deux cas de figure. S’ils sont livrés avec la moto, ils sont généralement considérés comme des pièces d’origine, et sont couverts par votre assurance globale. Si vous les rajoutez pas la suite, ils sont considérés comme des accessoires. Vous devez (éventuellement) les assurer séparément. La lecture des conditions particulières de votre contrat s’impose.
Vous aurez le choix, comme un automobiliste, entre plusieurs contrats, tous risques, au tiers, avec ou sans franchise. Pour vous rembourser, l’assureur appliquera une décote, en fonction de la vétusté de votre équipement.
Quoi qu’il en soit, l’assurance de votre équipement moto mérite réflexion. Comparez son prix avec le montant de la prime. Si vous deviez tout acheter à neuf après un accident ? Ou seulement le casque ? Si vos moyens sont limités, et que vous ne devez assurer qu’un seul accessoire, ce sera incontestablement votre casque.
Tout le monde sait bien qu’un motard propre est suspect. Soit il vient d’acheter son équipement. Soit c’est un faux motard. Et, bien que l’odeur fasse partie intégrante du style, de plus en plus de motards finissent par chercher des solutions pour laver et entretenir leurs textiles.
Vu le prix d’achat, on se dit que ce serait pas mal de garder nos vestes ou nos pantalons quelques années. Mais entre la pollution, la pluie, les insectes, la sueur et parfois la bière et les sandwichs, l’équipement finit par prendre un coup de vieux… pour ne pas dire être complètement dégueu.
Il y a plusieurs écoles à ce sujet… Les plus riches vous diront qu’une veste textile, ça ne se lave pas ! Et que quand ça commence à sentir un peu fort et que la veste tient droite toute seule, autant en acheter une nouvelle ! Bon, certains s’en contenteront et, à moins de ne faire qu’une sortie moto par an, devraient s’en tirer à bon compte.
Mais pour les vrais motards, ceux qui sortent la bête plusieurs fois par semaine, là, ça pose rapidement problème.
Laver trop régulièrement son blouson vous sera déconseillé par beaucoup de gens. En effet, le lavage est réputé atténuer l’effet déperlant et l’imperméabilité des vestes. Ce n’est pas complètement faux.
Tout réside dans la manière de laver les textiles.
Mais une chose est sûre, plus vous laverez, plus vous risquez d’amoindrir les qualités de vos textiles.
Nous allons donc essayer de trouver un juste milieu entre les looks de sans-abri et de planqué.
Vous vous êtes déjà sûrement demandé si cela valait le coup de laver votre veste. Jusqu’ici elle vous a toujours protégé efficacement des grosses saucées. Oui, elle sent un peu le fennec. Mais troquer le fait d’être toujours bien au sec contre une odeur de lessive, vous n’êtes pas chaud.
Ici aussi, vous entendrez tout et son contraire. La plupart des motards vous affirmeront qu’il ne faut jamais mettre son blouson à la machine. Que le frottement des textiles entre eux, et contre le tambour, abîme, déforme et fait perdre les qualités étanches.
C’était peut-être vrai il y a encore quelques années. Mais depuis, il y a eu deux grandes révolutions : d’abord les fabricants ont fait de réelles avancées techniques quant aux fibres et à leur résistance ; ensuite il existe des petits bouts de tissus qui pendent à l’intérieur de toutes les vestes, avec des pictogrammes bizarres dessus. Ces petites étiquettes, que toutes les mères regardent attentivement avant de mettre quoi que ce soit à la machine, valent en fait le détour. Car les fabricants y indiquent si l’on peut ou non laver sa veste en machine, la laisser sécher en sèche-linge ou encore la repasser. Ceci est une révolution.
Aujourd’hui, la plupart des vestes de moto en textiles sont lavables en machine. Il est conseillé de les laver à 30°C maximum (c’est indiqué sur les étiquettes par un bac dans lequel est écrit « 30 »), de les passer au sèche-linge le plus doucement possible (c’est indiqué par un carré à l’intérieur duquel se trouvent un rond et un point au milieu du rond) et on peut même les repasser au réglage le plus doux (un fer à repasser avec un seul point dedans).
Attention, contrairement aux croyances communes, emmener sa veste au pressing n’est pas toujours la bonne solution ! Ce n’est pas parce que vous déléguez la tâche qu’elle sera bien exécutée. Certaines vestes ne peuvent pas être nettoyées à sec ou ne supportent pas les solvants (sur l’étiquette, c’est indiqué par un rond barré).
Vous pouvez laver votre blouson à la machine ? C’est bien ce qui est écrit sur l’étiquette ? Tant mieux. Mais comment bien faire ?
Savoir que c’est possible hôte déjà d’un doute cruel. Mais sachez par exemple qu’il est formellement déconseillé d’utiliser de l’assouplissant ou d’utiliser de la lessive en poudre pour laver vos textiles de moto. Pourquoi ? Parce que ces deux produits ont tendance à boucher les pores des membranes étanches qui composent vos vestes. Les effets déperlant et respirant s’en trouvent nettement affectés.
Il est aussi conseillé de ne pas trop mettre de lessive. Plus vous aurez d’agents nettoyants en contact avec votre blouson, plus ceux-ci risquent d’altérer ses qualités. Trois ou quatre fois moins de lessive que vous avez l’habitude de mettre, suffira.
Les éléments actifs des lessives, s’ils restent en contact des fibres et membranes de votre veste, peuvent en altérer les propriétés imperméabilisantes et déperlantes.
Et s’il faut encore vous convaincre, il est aussi plus que conseillé d’activer l’option double rinçage de votre machine à laver, pour vous assurer que le maximum de produits soit bien éliminé.
Malgré l’autorisation du fabricant, il y aura toujours des puristes qui préfèreront laver leur blouson à la main. Pour vous aussi, nous avons quelques conseils.
Que ce soit en machine où dans votre baignoire, pensez à retirer toutes les protections de votre veste (dorsale et coques des articulations). Veillez aussi à détacher tout ce que vous pouvez dissocier : membranes détachables et doublures en tout genre. Lavez tout cela indépendamment.
Avant de laver votre blouson, à la main ou pas, fermez toutes les fermetures éclairs, la principale, les poches et tout autre velcro présent. C’est surtout vrai pour le lavage en machine, mais cela peut avoir son importance pour le lavage à la main. Il ne s’agit pas de déformer la veste si elle n’est pas correctement fermée. Non. En fait, c’est pour éviter que les fermetures éclairs et velcros ne s’accrochent, éraflent, déchirent votre blouson à certains endroits. Fermer les poches vous évite également qu’elles restent pleines d’eau, même quand le reste aura séché…
Le mieux lors d’un lavage à la main est de remplir sa baignoire, ou un récipient suffisamment grand, d’eau tiède et de savon de Marseille. Surtout, n’ajoutez pas de Javel pour laver votre veste, cela affecterait ses qualités étanches. Votre vêtement porte une tâche particulièrement ingrate ? Frottez-là avant lavage avec du savon de Marseille ou avec un peu de lessive liquide.
Plongez le blouson intégralement dans l’eau savonneuse. Jusqu’à ce que toutes les fibres soient bien imbibées du mélange. Ne laissez pas tremper trop longtemps, cela abîme les couleurs et la matière. Si vous avez des tâches, frottez-les délicatement. Évitez les brosses trop dures et les éponges trop molles. Les premières pourraient griffer votre vêtement. Les secondes pourraient pelucher et laisser de la matière dans vos fibres.
Pour le rinçage, préférez l’eau froide. Elle préserve vos fibres et conserve l’efficacité de vos tissus élastiques. Vous ne rincerez jamais assez ! Allez-y franchement et recommencez plusieurs fois. Rincer permet de stopper l’action de la lessive ou du savon, ce qui protège les fibres. De plus, mal rincés vos textiles seront rêches, désagréables au toucher et des traces blanches pourraient apparaître.
Enfin, essorez en douceur et pendez votre veste sur un cintre le plus large possible pour la laisser sécher au grand air.
Il existe des lessives spéciales pour nettoyer les membranes respirantes ! Les vêtements de ski, les vêtements et tentes de randonneurs sont nettoyés avec les mêmes attentes. Jetez un coup d’œil à la marque référence actuellement en France : « Nikwax ». Vous pourrez trouver les lessives et traitements les plus efficaces en magasins spécialisés pour les sports de plein air.
Si cela n’est pas contre-indiqué sur l’étiquette et si vous n’y êtes pas réfractaire, les fabricants Gore-Tex eux-mêmes conseillent de passer les textiles imperméables au sèche-linge pendant 20 minutes.
L’air chaud réactive les traitements déperlants !
Si vous n’avez pas de sèche-linge, repassez votre veste. Un coup de fer à repasser, en mode délicat c’est-à-dire tiède et sans vapeur. Protégez votre blouson en mettant une serviette entre lui et le fer à repasser.
Si vous le pouvez, pensez à diffuser régulièrement un coup de bombe imperméabilisante sur votre veste. Attention à bien vous renseigner sur les bombes de ce type. Certaines protègent bien moins que d’autres. Il existe aussi des solutions liquides à appliquer ou dans lesquelles il faut tremper vos textiles. Après ce traitement, passez votre veste au sèche-linge 20 minutes, pour en renforcer l’efficacité.
Vous verrez, votre veste retrouvera ses couleurs d’origine et conservera ses propriétés. Avec nos conseils, il se pourrait même que votre blouson soit un peu plus étanche qu’avant !
En scooter comme en moto, en cas de chute, la seule protection c’est l’équipement que l’on porte.
Trop de gens pensent qu’en scooter, on prend moins de risques qu’à moto. C’est faux. Même à 30 km/h, tomber en short ou en Jeans fait toute la différence ! En plus, le scooter offre des possibilités d’équipement plus variées. Alors suivez le guide pour rouler confortablement et en toute sécurité !
Trop de gens roulent à scooter sans gants, en T-shirt, en short ou en petites chaussures en toile. Ce n’est pas parce qu’on est sur un scooter qu’on est plus en sécurité qu’à moto. Et ceci, peu importe la puissance du moteur. Plus de la moitié des chutes à 2 roues se font pendant les trois premières années de conduite.
Comme pour les motards, prenez soin d’acheter rapidement un équipement de qualité, pour ne pas avoir à racheter des éléments trop souvent. De plus, à scooter, la majorité des déplacements se font en ville, un environnement plus que dangereux pour les 2 roues ! Entre les chaussées, les trottoirs, les piétons, les animaux, les vélos et les autres personnes motorisées, vous avez plus de chances d’être surpris en ville et donc plus de chutes ou de petits accrochages en perspective. D’où l’importance d’être bien équipé avant de prendre la route.
Le port du casque est obligatoire en France ! Il doit être homologué et attaché au niveau de la jugulaire. Pensez également que votre casque doit absolument présenter 4 bandes rétro réfléchissantes, une sur chaque côté. Si ce n’est pas le cas, vous vous exposez à une amende.
Pour le choix de votre casque, référez-vous à notre article concernant l’équipement moto (lien). Il n’y a pas de différences, si ce n’est que les conducteurs de scooter ont tendance à privilégier les casques de type Jet. Ce dernier offre une meilleure visibilité latérale et quelques détails appréciables (meilleure ventilation, plus simple à mettre et à enlever si on porte des lunettes…).
Mais le Jet est souvent déconseillé en ville, l’environnement dans lequel les chocs au menton et à la jugulaire sont les plus nombreux. Il offre aussi une protection moins efficace contre les poussières et les impacts d’insectes sur le visage, autant de gênes qui peuvent augmenter les risques de chutes.
Si vous préférez tout de même un Jet, vérifiez bien qu’il ne vous fait pas mal au front après quelques minutes de port. Vérifiez également la bonne protection de la visière. Plus elle descend bas, mieux c’est en terme de sécurité. S’il n’y a pas de visière, mettez impérativement des lunettes. Les yeux sont un élément primordial lors de la conduite. S’ils ne sont pas protégés, vous vous exposez à des risques.
Ne roulez jamais sans gants ! En cas de chute, le premier réflexe est de mettre les mains devant. Sans gants, vous êtes certain de vous blesser.
De plus, le port de gants devrait être obligatoire à partir du 1er janvier 2017.
Les conducteurs de scooters font souvent moins de trajets et sur des distances moins longues en moyenne que les motards. Aussi ont-ils tendance à privilégier des gants d’été ou de mi-saison. Pensez bien que les gants été ne sont pas faits pour être portés toute l’année, qu’ils s’usent plus rapidement et offrent moins de confort (froid, pluie) et moins de protection que les gants hiver.
Les gants de mi-saison peuvent être une bonne option en scooter. Et vous pouvez les compléter avec des sous-gants pour vous protéger du froid.
Dans tous les cas, à partir de l’année prochaine, il faudra vérifier que vos gants sont homologués et marqués à la norme « EN 13594:2015 », représentée par un pictogramme de motard entouré d’un carré. Les chiffres 1 ou 2 indiqués sous le logo indiqueront le niveau de protection plus ou moins élevé des gants.
On a tendance à croire que les vestes et blousons ne sont destinés qu’aux motards, qui sont plus exposés aux chutes à grande vitesse ou à des glissades sur le dos. En ville, les dangers ne sont certes pas les mêmes que sur route ou autoroute, mais ils concernent tout autant vos bras et votre dos !
En cas de chute, les articulations sont souvent les premières touchées. Un bon blouson protégera toujours vos coudes et vos épaules. Et les impacts entraînant un vol plané sont plus nombreux en ville que sur la route. Protéger votre dos est donc plus qu’indispensable. Ne roulez plus en T-shirt !
Aujourd’hui, que vous soyez plutôt cuir ou plutôt textile, vous devriez pouvoir trouver votre bonheur tant au niveau de la protection qu’au niveau de l’étanchéité !
En ville et sur les petits trajets, les arrêts sont fréquents et on met beaucoup plus souvent les pieds à terre. Sortir sa jambe et son pied de son scooter n’est pas anodin. C’est un des moments de vulnérabilité. Les voitures, les autres 2 roues, les piétons, les trottoirs… les obstacles sont légions pour une jambe qui s’écarte du repose-pied. On ne s’en rend pas forcément compte, mais les pieds et les jambes sont les plus exposés aux chocs, lors de trajets en ville. Mal équipé, vous risquez de vous blesser bêtement. Pensez donc à porter un pantalon solide, type Jeans, ainsi que des chaussures montantes qui protègeront vos chevilles.
Les scooters offrent un gros avantage par rapport aux motos. Vous pouvez les équiper sans forcément mettre votre look en péril !
Pensez à ajouter un pare-brise ou une bulle sur votre scooter. Surtout si vous roulez avec un Jet et une petite veste. Cela vous protège à la fois de la prise au vent, du froid et des intempéries. S’il est assez haut, un pare-brise peut compléter la protection contre les poussières et les impacts d’insectes sur le visage d’un casque Jet.
Les manchons, impensables sur une moto, sont parfaits pour les scooters. Ils protègent vos mains du froid, des intempéries et des impacts. Aujourd’hui, il est tout à fait possible de les choisir afin qu’ils s’adaptent au look de votre scooter. Amovibles, ils peuvent être retirés quand le beau temps revient.
Attention néanmoins ! Les manchons ne sont pas des gants ! Ils ne protégeront pas vos mains en cas de chute. Toujours porter des gants (au moins d’été) sous les manchons. Et surtout, évitez de ne porter que des sous-gants. En cas de chute, leurs fibres pourraient aggraver vos blessures.
Toujours pour les mois d’automne et d’hiver, pensez également à l’achat d’un tablier (ou jupe) !
C’est l’un des équipements qui fait la différence entre moto et scoot. Avec un tablier, peu importe le temps, qu’il pleuve ou qu’il vente, vous voyagerez confortablement. Très utiles, les tabliers sont aussi élégants et quand on en a essayé un, difficile de rouler sans les mois d’hiver… Et ils sont très facile à retirer pour les mois plus agréables de l’année.
Attention également : ne roulez pas en short sous votre tablier. Il ne protège pas en cas de chute.
Le Top Case est également un équipement à envisager sur votre scooter. Il en existe de toutes sortes et de toutes contenances et ils ne défigurent pas forcément votre scooter.
Pourquoi un Top Case ? Pour éviter de porter un sac à dos ! En effet, pour la sécurité, il est déconseillé de porter un sac à dos. En cas de chute, ce dernier peut augmenter les risques d’une grave blessure au niveau du dos. Surtout si vous transportez des choses lourdes et/ou très dures dans votre sac. Il est préférable d’avoir un Top Case quand on transporte souvent des choses.
De la même manière, préférez toujours transporter un 2e casque dans un Top Case plutôt que de le passer dans votre avant-bras ! En cas de chute, un casque sur l’avant-bras ou au niveau du coude peut vous blesser gravement.
Vous pouvez aussi vous faire conseiller en fonction de l’utilisation que vous faites de votre scooter.
Si vos parcours sont plutôt citadins ou plutôt campagnards, si vous faites des arrêts fréquents, si vous transportez régulièrement des choses, si vous voyagez par tous types de temps. Autant d’informations qui pourront aider les vendeurs pour vous conseiller sur l’équipement à vous procurer. N’hésitez pas à demander à nos conseillers ou sur des forums, afin d’avoir l’avis de conducteurs expérimentés qui auront sûrement déjà vécu les situations que vous allez rencontrer.
L’équipement de pluie peut vous sauver un trajet. Même court. Parfois, il sert aussi en hiver, quand les températures chutent et que la vitesse augmente encore la sensation de froid.
Ces équipements qui coupent l’air et l’eau sont très utiles, mais ont deux gros inconvénients : il faut du temps pour les mettre et les enlever et… ils sont souvent très moches.
Les motards les plus fiers préfèreront toujours être un peu arrosés que de perdre toute crédibilité au volant de leur bolide. Quitte à laisser traîner derrière eux un léger fumet de chien mouillé.
Mais parmi les plus avisés, le débat fait rage ! Les amateurs de combinaisons affirment qu’il n’y a pas photo et que pour être bien au sec, rien ne vaut l’intégrale.
Les détracteurs disent, sans mauvaise foi, qu’il faut 2 heures pour mettre une combi et 1 de plus pour la retirer, sans compter l’horreur de la clé oubliée dans la poche de Jeans et les poses pipi qui se transforment en cauchemar. Passer plus de temps à s’habiller qu’à rouler ? Hors de question !
Le débat est bien là : tout dépend de l’usage que vous en faites.
Ceux qui partent en road-trip pour plusieurs heures ou plusieurs jours sur leur bécane privilégieront les combinaisons. C’est de loin l’équipement le plus couvrant, étanche, confortable et, la plupart du temps, avec les meilleures finitions.
Et ceux qui vont travailler tous les jours à deux-roues, qui enchaînent les petits trajets réguliers, préfèreront le 2 pièces, plus rapide à mettre et modulable en fonction du temps. Ainsi, on gardera souvent son blouson pour enfiler juste un sur-pantalon en cas de pluie fine. Et si le temps se gâte, un petit k-way ou une sur-veste fera l’affaire. De plus, le pantalon de pluie, qui est généralement coupe-vent, servira également à tenir chaud l’hiver.
Enfin, certains motards investissent dans des blousons textiles un peu plus étanches que les autres et ne s’embarrassent que d’un pantalon de pluie au cas où.
Vous vous êtes procuré un ensemble contre la pluie et pourtant les voyages humides sont toujours un calvaire pour vous ? C’est peut-être que l’eau s’infiltre par vos mains et vos pieds !
Les chaussures et bottes sont généralement conçues pour résister à l’eau. Si ce n’est pas le cas pour celles que vous avez, c’est sûrement qu’elles ne vous protègeront pas efficacement non plus contre d’éventuelles chutes. Mais si vous prenez l’eau, il existe toujours la solution des sur-bottes. Il s’agit de housses imperméables à enfiler comme des chaussons et qui montent plus ou moins haut sur la jambe en fonction de vos besoins et de votre confort.
Pour les mains, nous ne parlerons pas ici de manchons à fixer sur les guidons. Nombreux sont ceux parmi vous qui préfèreraient redevenir automobiliste plutôt que d’installer ces horreurs sur leur moto. Ils sont pourtant très efficaces. Mais n’insistons pas.
Il existe d’excellents gants contre la pluie. Mais la plupart ne protègent qu’une heure ou deux avant de prendre l’eau. Rares sont ceux qui peuvent tenir toute une journée par mauvais temps. Pour vos achats, préférez l’excellent Gore-Tex. Pour le moment inégalé en termes d’efficacité pour vous garder au sec. Et en plus, c’est transpirant, ce qui vous évite le désagrément de devoir replacer la doublure intérieure à chaque fois que vous retirez vos gants.
Le petit plus, si l’on roule souvent par mauvais temps, ce sont les gants munis d’une petite raclette à visière sur l’index.
Sinon, vous avez également les sur-gants. Très utiles et efficaces, mais la plupart du temps assez gênants pour la conduite.
On ne peut pas toujours lier l’utile au style. Les équipements de pluie sont souvent triés en deux camps distincts : d’un côté les textiles synthétiques sur lesquels on trouve une couche d’imperméabilisant ou d’anti-déperlant ; de l’autre les fibres « intelligentes » hydrophobes et transpirantes.
La plupart du temps, la différence entre les deux camps se situe dans l’impact sur le portefeuille. Les textiles recouverts d’anti-déperlant sont très accessibles, mais ne tiennent pas beaucoup dans le temps. Les textiles composés de membranes à la fois étanches et respirantes ont une plus grande longévité et le disent à travers leur prix.
Au niveau des tarifs, on trouve des premiers prix à 15 euros et on peut monter jusqu’à plus de 200 euros pour un seul type d’équipement.
Voici quelques conseils pour bien choisir :
– Attention aux coutures. C’est souvent par elles que l’eau s’infiltre. Préférez les coutures thermocollées.
– Les zips et fermetures éclair sont aussi autant de brèches. Vérifiez la présence de rabats qui empêchent l’air et l’eau de passer.
– Contrôlez la facilité d’enfiler votre équipement. Vous trouverez des combinaisons ou des pantalons entièrement zippés sur le côté. Très pratiques à mettre.
– Pour les pantalons, préférez ceux qui ont un élastique à passer sous les semelles des chaussures, pour éviter que qu’ils ne remontent lors du trajet.
– Certains pantalons sont munis de renforts antidérapants aux fessiers, pour éviter de glisser sur une selle détrempée en cas de freinage ou d’accélération.
– Pour les plus frileux, privilégiez les pantalons qui remontent haut sur le ventre, pour protéger des infiltrations d’air et d’eau.
– Pour les vestes, choisissez un col bien haut pour éviter les infiltrations par le cou et vérifiez la présence d’élastiques au niveau des poignets.
– Pour les gants, faites bien attention à ce que les rabats, au niveau du poignet, soient suffisamment larges pour recouvrir votre blouson
– Quand il pleut, la visibilité diminue. Protégez-vous en choisissant des équipements de pluie de couleurs vives ou munis de bandes retro-réfléchissantes.
– Enfin, pensez à avoir au moins une poche étanche à portée de main, pour y glisser vos papiers, votre ticket d’autoroute ou votre CB.
Essayez votre équipement ! ( pour les achats en magasin ) Nous ne le répéterons jamais assez.
Pour les achats sur le web, renseignez vous un maximum sur les tailles et le sizing de la marque en question, afin de ne pas faire de retour inutile, toujours fastidieux et qui entraine un surcout.
Essayez surtout avec votre équipement moto le plus épais : blouson d’hiver, grosses chaussures.
Les combinaisons et les pantalons de pluie auront l’air toujours beaucoup trop grand. Il y a de bonnes raisons à cela. D’abord, quand vous enfilez l’un de ces équipement, c’est qu’il pleut ou qu’il fait froid et que vous voulez donc avoir une couche supplémentaire. Il faudra donc les mettre par-dessus des vêtements déjà épais. Ensuite, la position adoptée une fois sur votre moto, les jambes écartées et pliées vont faire remonter votre pantalon. S’il est trop petit, vous finirez votre trajet les chevilles et les tibias à l’air. De la même manière, un pantalon qui ne remonte pas assez haut sur votre ventre risque de laisser passer l’air et l’eau sous votre blouson.
Donc pensez bien à essayer ( commerce ) ou vous renseignez un maximum ( internet ) sur votre prochain équipement, en pensant au port de votre plus gros blouson et en condition sur une moto, avant de l’acheter.
– Ne roulez jamais uniquement avec ces équipements. Même s’ils protègent de l’humidité et vous tiennent chaud, seuls ils ne servent à rien en cas de chute. Pire, les tissus synthétiques peuvent aggraver des blessures ou des brûlures.
Certains pantalons de pluie sont renforcés au niveau des genoux et des hanches. C’est très bien, en plus de Jeans en dessous. Mais pas tout seul.
– Pensez à bien faire sécher votre équipement de pluie après utilisation pour éviter qu’il ne moisisse. Cela vous évitera de sentir le fennec à la prochaine pluie et surtout, vous conserverez les propriétés imperméables plus longtemps.
– Attention à la manière dont vous stockez vos équipements. Un pantalon toujours plié dans le même sens finira par perdre son étanchéité au niveau du pli, plus ou moins rapidement selon sa qualité.
– Enfin, rien ne vous empêche d’entretenir vos équipements et de leur passer une petite couche d’imperméabilisant tous les 6 mois.