Zolki

Une passagère doit réfléchir à son équipement avant de monter sur une machine. Le casque est le seul accessoire obligatoire dont elle doit se munir mais équiper et accessoiriser le reste de son corps n’est pas pour autant inutile. Gants, veste, pantalon et chaussures sont aussi indispensables pour la passagère que pour la personne aux commandes. Alors comment choisir intelligemment son blouson lorsque l’on souhaite uniquement faire de la moto en tant que passagère ?

Blouson moto de la passagère : la sécurité avant toute chose

Duo ou couple à moto, la tentation est grande de choisir son blouson ou sa veste de moto en fonction de celle de son partenaire. « Mon conducteur porte une veste en cuir ? Je vais en chercher une en cuir moi aussi, et du même coloris. Son blouson est noir avec de petits détails gris et blancs ? Il me faut le même ! ». Vouloir être assortie à tout prix au conducteur de la moto peut vous porter préjudice en vous faisant oublier l’essentiel : la sécurité. Vous devez choisir votre blouson d’abord en fonction de vous, de vos choix au niveau confort et sécurité. Ce qui convient au conducteur ne vous conviendra pas à coup sûr. Vous n’avez probablement pas les mêmes besoins thermiques, les mêmes besoins au niveau de la liberté de mouvements, ni les mêmes exigences au niveau protection et sécurité.

En cas de choc, de chute, d’accident, il est très peu probable que le destin vous épargne parce qu’il vous trouve bien assortie au conducteur… En revanche, un blouson présentant toutes les protections nécessaires pourra faire toute la différence.

Passagère : confrontée aux mêmes choix d’achat que le conducteur

La dernière enquête datant de mars 2014 de la société TNS Sofres, nommée « Les chutes à deux roues » soulignait le fait que le nombre de blessés à moto pourrait être considérablement réduit si les motards s’équipaient mieux : 50% des blessures en cas de chute sont des traumatismes aux bras et pourtant, 24% des conducteurs de deux-roues circulent sans blousons renforcés.

Que vous soyez conducteur ou passager, le blouson constitue la pièce principale de votre équipement moto. C’est donc cette pièce en particulier que vous devrez choisir avec le plus de soin, en suivant en premier lieu les mêmes conseils que ceux que nous donnerions à tout motard. Choisissez la matière de votre blouson en fonction de vos attentes : le textile, le cuir ou la combinaison des deux ne vous offriront pas les mêmes avantages. Choisissez de préférence un blouson certifié EPI, Équipement de Protection Individuelle, et qui comporte à la fois la mention CE et le petit logo type moto (logotype que vous devez trouver sur chaque casque et chaque protection normée.). Le blouson, quelle que soit sa composition, doit pouvoir résister aux abrasions. Il doit être confortable tout en étant parfaitement à votre taille.

Sachez que les blousons équipés de renforts sont normés de la manière suivante :

EN 16221-1 pour les protections situées sur les coudes, les épaules et les hanches. EN 1621-2 pour les protections dorsales et EN 1621-3 pour les protections thoraciques. A vous de choisir et d’estimer les protections qui vous semblent les plus nécessaires, tout en sachant que plus vous êtes protégée, mieux c’est.

Passagère et conducteur : une posture qui diffère

Votre position, plus penchée en avant que le conducteur lui-même, induit le port d’un équipement adapté. Vous devez être libre de vos mouvements et pouvoir maintenir sans gêne vos bras tendus devant vous à hauteur de vos épaules, en formant un angle supérieur à 90°. Dans cette même position, au niveau de votre dos, le bas de votre veste risque d’être amené à remonter. Il est alors judicieux de penser à cela dès votre achat de choisir soit une veste mi-longue, soit une veste que vous pourrez resserrer par des liens spéciaux ou des bandes auto-agrippantes au niveau de la taille. La combinaison de moto, même si elle peut sembler moins pratique à utiliser quotidiennement, présente tous les avantages dont peut vouloir profiter une passagère moto : protection, chaleur, couverture maximale et confort. Elle rassemble les deux pièces les plus vitales pour un motard après le casque. Le prix que vous mettez dans une combinaison rassemble celui que vous consacreriez à ces deux éléments.

Si vous souhaitez porter un blouson moto cintré et avoir de la place pour porter plusieurs couches de vêtements au dessous, pensez à investir dans deux blousons, un pour l’hiver et un pour l’été, de façon à ne pas flotter dans un blouson trop large arrivée à la belle saison.

Penser l’usure de son blouson moto différemment

Vous allez passer des heures assise derrière un conducteur, de courts ou longs trajets accrochée à lui ou tenant des poignées spéciales passagers. Dans les deux cas, il vous faut bien visualiser que l’intérieur de vos bras et la face avant de votre veste oscilleront toujours entre contacts et frottements. Certains motards passagers déconseillent le cuir justement parce qu’il marque et que les frottements réguliers peuvent altérer sa teinte et ses couches d’imperméabilisant. De la même manière, pensez au blouson de votre partenaire et éviter tout ce qui pourrait l’abîmer à force de contacts : exit donc les blousons cloutés, les fermetures décoratives et tous les ajouts en relief un peu trop prononcés.

A deux c’est mieux, quand c’est réfléchi !

Si vous souhaitez faire de la moto avec le même partenaire, tout au long de l’année, qu’il soit votre conjoint ou non, il est important de penser vos équipements ensemble et de faire des essais en montant réellement sur votre moto ensemble, quitte à perdre du temps lors de vos essayages en magasin. La dorsale du conducteur par exemple pourrait vous gêner. Vos deux matières de vestes pourraient elle-aussi ne pas être idéales l’une contre l’autre. Deux vestes en cuir façon nubuck par exemple ne sont pas agréables à associer car frottées l’une contre l’autre, elle présentent une certaine adhérence. En plus de s’abîmer plus rapidement, leur port pourra devenir à la longue désagréable.

Le prêt d’un blouson moto pour la passagère est-il LA solution ?

Souvenez-vous enfin qu’un équipement est propre à chaque motard. Les prêts sont donc pratiques pour des trajets courts et exceptionnels, à condition que la personne soit d’une morphologie comparable à la vôtre. Manches qui retombent sur vos poignets, col trop serré ou au qui contraire, trop haut, vous griffe le visage ; un blouson trop petit ou trop grand pourrait vous gêner dans vos mouvements et vous empêcher de vous tenir comme il faut au conducteur ou aux poignées prévues à cet effet. Une promenade à moto, lorsque l’on ne se sent pas bien dans son équipement, n’est jamais une partie de plaisir.

Être passagère sur une moto implique tout autant le port d’un vêtement normé et bien pensé que de la conduire. Le choix du blouson moto de la passagère est important car, en cas de choc ou de chute, elle sera le rempart arrière du conducteur et sera plus à même d’être blessée. Notre conseil : le port d’une protection dorsale en tant que passagère est une protection vitale majeure.

Se protéger du froid à moto est la principale préoccupation des motards dès l’arrivée de l’automne et des jours les plus froids. Le vent froid, dont la puissance est accentuée par la vitesse et le mouvement, s’il est très recherché en été, est tout autant redouté en hiver. Le casque protège votre visage, les gants vos mains, le devant de votre machine protège majoritairement vos jambes… Comment alors protéger correctement son buste du froid à moto ?

Vestes, blousons, le choix des matières

Une fois le froid installé, ressenti, au cours d’un long trajet comme d’une brève balade, difficile d’y remédier. La moto exige de vous une attitude stoïque et très peu de mouvements effectués par le haut de votre corps. Une seule solution pour se maintenir au chaud : éviter le coup de froid.
Lorsque vous choisissez une veste ou un blouson de moto, renseignez-vous bien sur les performances énergétiques de celui-ci, non pas en terme de chauffage évidemment mais en terme d’isolation. Cette pièce maîtresse de votre équipement doit permettre à l’air de circuler librement sans pour autant vous refroidir. Elle doit aussi vous permettre de maintenir de manière constante la température de votre corps. Les blousons en matière textile vous offrirons toute une panoplie d’avantages, tissus micro-aérés, tissus isolants… Les blousons textiles peuvent être spécialement conçus pour l’hiver et donc comporter doublures isolantes et couches supplémentaires. Certains blousons offrent également une doublure polaire ou microfibre à ajouter ou à retirer selon les saisons. Le blouson en cuir, souvent mis au placard l’été, est idéal en hiver. Il est un puissant isolant et offre l’avantage de ne pas avoir besoin d’une succession de couches et d’épaisseurs pour cela. Votre veste en cuir peut être relativement fine, tout en vous protégeant à la fois des chocs et des basses températures.

Choisir les bons vêtements à porter au dessous

Comme sur les pistes de ski et dans tous les sports d’hiver, lorsque l’on considère que son blouson est chaud, difficile de savoir comment bien s’habiller en dessous. Une règle à respecter pour être sûr d’être à l’aise et bien protégé : celle des trois couches. Il n’est pas alors question de superpositions de couches différentes de vêtements mais du nombre de caractéristique que doit comporter votre tenue. La couche la plus près de votre peau doit être respirante, de façon à évacuer surplus de chaleur et transpiration. La seconde, intermédiaire, doit être isolante, veillant à ce que vous ne perdiez pas votre chaleur ni ne soyez touché par le froid extérieur. Enfin, une troisième couche doit être protectrice, idéalement imperméable et pour la moto, anti-choc. Ces couches doivent se porter dans cet ordre pour un résultat optimal. C’est cet assemblage qui est conseillé à tous les sportifs, en course à pieds comme dans les sports extrêmes. Le tout est de ne pas mélanger l’ordre des vêtements et d’en adapter le nombre et les matières en fonction de la météo. Vous pouvez donc porter un T-shirt et un pull en coton, une doublure polaire ou non et une veste en cuir, un ensemble qui respecte l’ordre respirant, isolant, protecteur.

Préservez-vous des chocs thermiques

Il est une solution très simple à laquelle les motards font très peu attention : le temps d’habillage et surtout le temps que vous allez passer bien au chaud chez vous, ou là où vous choisissez de vous équiper, avant de vous rendre dehors et de monter sur votre moto. Le temps que vous passé équipé doit être un instant de transition et ne pas vous offrir de sentiment de surchauffe. Quelques explications : imaginez un départ pour une balade à moto après un repas entre amis, vous vous habillez, équipement moto complet, mais vous continuez à discuter, à prendre votre temps. A cet instant, votre corps vous envoie des signaux pour vous dire qu’il a trop chaud : rougeurs, transpiration… Des signaux qui vous rappellent qu’il est temps de partir. Une fois dehors, par seulement quelques degrés, votre corps doit faire face à la situation inverse et cette gestion peut être plus critique qu’on ne le pense. C’est ainsi que l’on se retrouve les membres engourdis, la nuque humide et que l’on commence mal son après-midi. Il en va de même lorsque vous entrez dans un lieu chauffé, même si ce n’est que pour quelques minutes : puisque vous enlever votre casque, profitez-en pour ôter également votre blouson ou au moins pour l’ouvrir. Bien protéger son buste du froid à moto demande aussi un peu d’organisation et de bon sens.

Les petits plus qui font la différence

Sur une veste ou un blouson de moto, il existe de nombreux détails que nous prenons trop souvent pour des détails visuels, des finitions de style, qui sont en réalité des atouts non négligeables. Prenez par exemple le rabat situé sur la fermeture éclair ventrale de votre veste de moto : il n’est pas simplement présent pour cacher visuellement la fermeture mais bien pour empêcher le froid, une fois lancé à grande vitesse, de s’insinuer entre les dents de celle-ci. Tous les rabats d’un blouson, situés sur les manches, les poches, les fermetures et le col remplissent les mêmes fonctions. Le col de votre blouson est lui-aussi très important. S’il n’offre pas la possibilité de se relever, il vous faudra porter une écharpe ou une protection spéciale autour de votre cou et de votre nuque. Enfin, chaque « jointure » entre votre veste et le reste de vos équipement est une faille dans votre panoplie et donc une possible entrée d’air froid. En hiver, privilégiez les blousons avec possibilité de se resserrer à la taille, autour du cou et aux poignets. Velcro ou simples liens à ajuster, tous ces détails feront grandement la différence.

Les pouvoirs des nouvelles technologies

Nous vous parlions dans d’autres articles des gilets airbag, des tissus innovants, sachez que le froid intéresse tout autant les créateurs que la sécurité. Ces dernières années, les boutiques d’équipement moto ont vu arriver sur le marché toute une collection de blouson chauffants, pas seulement des pièces aux tissus isolants mais bien chauffants, à proprement parler. Conçus au départ pour les corps de métiers œuvrant en extérieur, ils conquièrent petit à petit le marché des sports extérieurs. Il est même possible de trouver des blousons moto avec plusieurs zones chauffantes, se contrôlant à l’aide d’une simple pression. De célèbres marques de moto comme des marques de la grande distribution ou encore des chaînes de magasins dédiés au sport proposent des vêtements thermiques très efficaces et à moindre coût. Face à ces nouvelles technologies, les anciennes traditions ne perdent pas la main pour autant : cuir, coton, gilets en peau, la nature est aussi pleine de ressources.
Pour conclure, avoir froid sur votre moto en hiver n’est absolument pas une fatalité mais une question d’organisation et de logistique. Protéger son buste du froid à moto est indispensable pour que la pratique vous en reste agréable. Le buste étant le cœur de toutes les fonctions vitales et la zone que votre cerveau tente de maintenir au chaud par tous les moyens. Avoir froid au visage ou aux mains n’a pas autant de conséquences qu’avoir froid au niveau du buste.

L’utilisation de la fourrure a toujours été dénigrée par les protecteurs des droits des animaux. De fausses idées circulent sur cette matière, qui tient pourtant une place privilégiée dans la haute couture. Les croyances populaires dans le domaine de la fourrure sont infondées et démontrées par des sources fiables, à travers cet article. La désinformation à l’encontre de la fourrure, ainsi que la victimisation des consommateurs « avec des photos chocs et ou photomontages cruels » traumatisent toute la population. Pas très difficile pour les opposants anti-fourrure de déboulonner l’image noble de la fourrure et n’ayant même pas besoin d’argumenter, sur la « véracité du sujet », exploitant les sentiments de martyr et désorientant par obligation le choix des consommateurs.

Voici les plus courantes.

1- Le commerce de la fourrure n’est pas réglementé

Au contraire, le commerce de la fourrure est très réglementé à travers des lois et règlements régionaux, nationaux, et internationaux. Les textes couvrent non seulement le bien-être de l’animal, mais également l’impact environnemental de la chasse. Les acteurs du commerce travaillent de pair avec les gouvernements pour lutter contre le mauvais traitement des animaux.

2- L’industrie de la fourrure menace les espèces animales

La Fédération Internationale de la Fourrure est un membre votant de l’IUCN (International Union for the Conservation of Nature and Natural Resources) depuis 1985 et parraine les projets de conservation de l’organisme. De plus, l’industrie de la fourrure soutient la CITES (Convention on International Trade in Endangered Species) depuis sa création dans les années 70.

3- L’élevage dans l’industrie de la fourrure nuit à l’environnement

Prenons l’exemple de l’élevage de visons. Les animaux sont essentiellement nourris avec des restes en provenance des abattoirs, des usines de poissons et de production de sous-produits alimentaires. En d’autres termes, l’élevage recycle les déchets destinés aux sites d’enfouissement. Cette activité produit de l’engrais organique et du biocarburant de deuxième génération, plus respectueux de l’environnement. Les carcasses d’animaux sont utilisées pour le chauffage et la production de ciment.

4- Les animaux sont maltraités dans les fermes

Non seulement des normes sont à suivre, mais la qualité de la fourrure dépend des conditions de vie des animaux. Un éleveur n’a donc pas intérêt à les maltraiter. Au contraire, il dépense beaucoup pour leur donner ce qu’il y a de meilleur dans l’alimentation, ainsi qu’une bonne installation. De la même manière, la mise à mort est rapide et indolore.

5- Les animaux piégés pour leur fourrure souffrent pendant plusieurs jours

Il y a des normes qui régissent les pièges. Elles sont inscrites dans le cadre de l’Accord sur les normes internationales de piégeage sans cruauté (ANIPSC). L’industrie de la fourrure a participé à l’établissement de ces règles.

6- La fausse fourrure est éco-responsable

La fausse fourrure est fabriquée à partir de produits dérivés du pétrole, tandis que la fourrure naturelle provient d’une ressource renouvelable, d’une durée de 20 à 30 ans.

7- Les animaux sont écorchés vifs

Cela est illégal dans les pays producteurs de fourrure. L’industrie de la fourrure encourage d’ailleurs les gouvernements à appliquer des lois anti-cruauté. Il est difficile et dangereux d’écorcher un animal vivant.

L’approche intellectuelle de la fourrure n’est pas identique selon nos origines ou domiciliation géographique. Un russe ou un canadien ne s’habillera pas comme un égyptien ou un portugais … N’oublions pas que le commerce et le travail de la fourrure sont millénaires. En occident, le cuir comme la fourrure sont des signaux qui démarquent les classes sociales. ( produit de bonne manufacture ou secteur luxe ) En conclusion, on assume ou pas le port de la fourrure, avec parfois un peu de provoc’, comme dans le dernier clip de Maitre Gims !

Maître Gims :
Passe avant minuit.
Je vais t’faire vivre un dream.
Avance sur la piste.
Les yeux sont rivés sur toi.
Les habits qui brillent tels Les Mille Et Une Nuits.
Paris est vraiment ma-ma-ma-magique.

La question peut sembler sournoise voire amusante mais les faits sont là et sont bien réels. Selon les statistiques des accidents de la route en France, 19% des motards seraient décédés dans un accident de la route en 2013 soit 631 personnes mortes pour plus de 13 000 blessés. Chez les motards, le non port de casque est la première cause de mortalité des 20-35 ans.
Alors pourquoi un équipement est-il essentiel pour le motard ?

Tout simplement, car ils sont d’avantages plus exposés et le degré de gravité des lésions est plus élevé, car ils n’ont ni airbag, ni ceinture de sécurité, ni carrosserie pour les protéger.

Les risques du non port de casque :

Lors d’un impact frontal ou transversal ou même pendant une éjection ou une simple chute, la tête est toujours violemment projetée. Les motards peuvent être victimes de lésions cérébrales qui provoquent des traumatismes crâniens plus ou moins graves selon la violence de l’impact. Le traumatisme crânien ou la compression de la boîte crânienne, sont deux cas de figure probables lors d’un accident de moto.

Les dangers du non port de gants :

Le port de gants doit être vu en premier comme un vêtement de protection pour une conduite confortable  les extrémités des membres sont toujours très sensibles au froid. Les sensations de brûlures commencent dès 15-20 km/h. En outre, les mains doivent être protégées contre les projections (certain bolide dispose d’un écran main au niveau des commandes). En cas de chute, un gant protège des blessures multiples mais aussi des égratignures.

Un blouson sans renfort dorsale :

Il est préférable d’opter pour un renfort dorsal que l’on peut acheter indépendamment de son blouson. Il s’agit d’un équipement rigide qui s’attache avec des bretelles et se porte sous le blouson. Cet équipement est indispensable pour optimiser la protection de la colonne vertébrale. Mais la protection des cervicales n’est pas encore tout à fait au point en matière d’équipement moto. Cependant, de nombreux chercheurs se penchent sur la question pour tenter d’amener des solutions durables et efficaces.
La compression sur les vertèbres provoque des paralysies totales ou partielles de différentes parties du corps. Un violent choc aux vertèbres dorsales est souvent sans appel. La paralysie peut être complète et sans espoir de récupération.

Des vêtements de motards renforcés :

Il faut les choisir avec des coques souples ou solides afin de protéger les articulations soit au niveau des épaules, des coudes, des genoux voire du bassin. Malheureusement, certaines parties du corps restent toujours vulnérables comme le thorax, l’abdomen, le fémur, les bras etc….

Les bottes :

Elles sont indispensables pour protéger tibia, cheville et péroné. Les bottes doivent donc avoir des renforts rigides au niveau du talon et du coup de pied. Les renforts latéraux permettent de se prémunir contre le retournement du pied vers l’intérieur ou l’extérieur.
Bien entendu, ces équipements ne garantissent rien dans le sens où la gravité des blessures dépend de plusieurs facteurs extérieurs. Ils permettent d’éviter certaines lésions graves ou tout simplement de limiter la gravité de ce type de blessures.

Lorsque l’on n’est pas motard ou que l’on commence à découvrir cette passion et à constituer son équipement, on pense aux premiers éléments visibles ; majoritairement au casque, au blouson et aux gants. Le pantalon moto est pourtant une des pièces importantes de la tenue de tout motard qui se respecte et qui fait un tant soit peu attention à sa sécurité. Vers quel type de pantalon moto faut-il alors se tourner ? Avez-vous réellement besoin d’un pantalon spécial pour cela ? Voici de quoi de quoi éclairer vos choix :

Le pantalon moto : une protection quotidienne

Si vous pensez qu’un pantalon spécialement dédié à la moto est inutile, c’est que vous n’avez probablement pas encore passé assez de temps sur un deux roues. Faire de la moto, sur route, tout terrain ou sur circuit, c’est vous exposer à toutes sortes de désagréments que seuls les motards connaissent bien : la pluie, la neige, le froid, le vent, le froid et le vent combinés, sur un pantalon mouillé… Le pantalon moto vous met à l’abri des intempéries mais vous protège aussi des petites projections de cailloux que vous recevrez bien plus souvent que vous ne le pensez. Et bien évidemment, en cas de frottement, de collision avec tout autre véhicule ou tout obstacle, en cas de chute aussi, votre pantalon moto vous protège des abrasions comme des brûlures graves.

Le pantalon moto fait partie depuis le 19 janvier 2012 de l’équipement à posséder et à présenter obligatoirement pour l’obtention de son permis moto, tout comme le casque, la veste, les gants et les chaussures spécialisées. Libre à chaque conducteur de les porter ou non une fois le permis obtenu (exception faite du casque dont le port reste évidemment obligatoire).

Le pantalon moto, à chacun son style

Parce que le pantalon moto n’est pas un équipement normé, réglementé, il est le vêtement qui se décline dans le plus de styles, de couleurs et de matières différentes.

Le jean moto :

Il est le plus passe-partout des équipements, celui qui se marie avec n’importe quel blouson moto, avec n’importe quelle veste en cuir. Un impératif peut aussi vous obliger à porter votre pantalon de moto pour vous rendre au travail, sans possibilité de vous changer ensuite. Le jean moto offre tous les avantages look d’un jean, sobriété, modernité, mais avec la sécurité de ses zones de protection et de ses renforts en plus. Le jean moto est toujours autonome, c’est à dire qu’il suffit seul à vous protéger. Les pantalons moto en jean ne sont pas des sur-pantalons. Ils sont souvent imperméabilisés dès l’achat, grâce à des traitements spéciaux, mais il se peut que cette tâche vous revienne. Il se déclinent dans tous les styles, coupe droite, baggy, large ou slim, sans jamais perdre de leur avantage au niveau du confort comme de la sécurité. Lors de fortes chaleurs ou de trajets ensoleillés, le pantalon moto jean, même micro-aéré veut vite devenir insupportable.

Le pantalon moto en textile :

Le pantalon moto textile offre lui aussi confort et protection mais sans être optimal niveau style. Souvent semblable aux pantalons de sports d’hiver, il passe inaperçu une fois que vous chevauchez votre machine et s’adapte moins en revanche aux situations de la vie courante. En contrepartie, ses avantages sont nombreux. Il peut être composé de tous les textiles innovants que la technologie nous offre aujourd’hui. Parmi ceux les plus en vogue, le tissu Cordura : un tissu synthétique respirant, micro-aéré, à la fois léger et très robuste, avec une résistance aux abrasions trois fois plus importante que celle du nylon et près de vingt fois plus importante que celle du coton. Le pantalon textile moto possède très souvent une doublure thermique amovible, un atout indispensable à ajouter en hiver et à mettre au placard en été. Il est le seul à pouvoir répondre parfaitement aux attentes des motards en toutes saisons. Pour les plus excentriques ou juste originaux, le pantalon textile moto se décline en de nombreuses couleurs, matières et coupes.

Le pantalon en cuir moto :

Le cuir enfin reste la matière incontournable pour l’équipement du motard. Il allie l’avantage de la protection, de l’isolation, de l’imperméabilisation et de la résistance dans le temps. En hiver, vous pouvez porter sous votre cuir un caleçon supplémentaire pour vous protéger du froid. Le pantalon moto en cuir vous permet aussi de glisser dessous comme dessus des protections supplémentaires. En été, il se révèle tout de même moins agréable à porter, même si des doublures textiles respirantes existent. Tout dépend de votre pratique de la moto et du budget que vous souhaiterez mettre dans un ou plusieurs pantalons moto.

Pantalon moto : choisir ses zones de protection et astuces

Quelle que soit votre préférence concernant la composition de votre pantalon, gardez en mémoire le plus important : les zones de protection du vêtement. Deux zones à protéger majoritairement sur le bas de votre corps, vos genoux et vos hanches (bassin) : les deux zones osseuses les plus durement touchées lors de chutes à moto. Privilégiez les protections couvrant un maximum de surface, internes ou externes.

Comme pour tous les vêtements de moto, l’essayage et les tests, marche, course, sauts, changement de positions, flexions, sont indispensables. Votre pantalon moto doit être oublié une fois porté : vous aurez besoin de toute votre attention pour conduire au mieux.

-Les renforts peuvent être ajoutés, intégrés ou à compléter. Dans ce dernier cas, attention à ce que la poche prête à les accueillir ne vous gêne pas lors de l’enfilage du pantalon.

-Il existe des pantalons qui s’intègrent au blouson de la même marque à l’aide de fermetures-éclairs ; de quoi ne jamais avoir le bas du dos à l’air. Si vous vous en sentez capable, vous pouvez vous-même vous créer une combinaison en reliant veste et pantalon avec du fil et une aiguille.

-Si au premier essayage, des élastiques de maintien passant sous les pieds et bretelles vous rebutent, souvenez-vous qu’ils deviendront vite des atouts de votre pantalon, ce n’est qu’une question d’habitude et de pratique.

Le mythe du pantalon moto obligatoire

Malgré de très nombreuses fausses chaînes d’informations circulant sur le net, il n’est pas question de rendre obligatoire le port d’un pantalon pour les motards. La question de pantalons homologués et donc leur vérification, étant donnée la masse de produits existants sur le marché, serait trop complexe à résoudre. Arrêter un motard qui ne porte pas de casque est une chose aisée, en arrêter un parce que l’on juge qu’il ne porte pas le bon pantalon et demander à ce qu’il le prouve dans la rue est impossible.

Attention en revanche, une proposition de loi est à l’étude depuis le 11 février dernier :

« Article unique : Le port de gants et d’un dispositif de protection dorsale homologués est obligatoire pour les conducteurs et passagers de deux roues motorisés de plus de 125 cm3. Le fabriquant doit fournir ces équipements lors de l’achat du véhicule. »

Le choix d’un pantalon de moto, comme de toutes les pièces d’équipement du motard, doit être un choix éclairé, testé et se basant sur la sécurité avant l’esthétisme et le confort seuls.

Nous vous le rappelons dans chacun de nos articles, l’équipement d’un motard n’est pas seulement ce qui lui confère son style, c’est avant tout et surtout ce qui peut lui sauver la vie en cas de chute ou d’accident. Faire le bon choix d’équipement, dès le départ est très important et la protection dorsale moto est l’un des éléments vitaux qui le composent. La multiplicité des produits vendus sur le marché peut rendre votre choix compliqué. Voici les données à vérifier impérativement pour vous sentir à l’aise dans cette pièce maîtresse de votre tenue mais aussi les indications pour vous aider à comprendre quand et comment la porter.

Quelques informations générales sur la protection dorsale moto

La protection dorsale est obligatoire pour les motards seulement lorsqu’ils évoluent sur un circuit. Les protections dorsales valables et autorisées sont celles régies par la norme « EN 1621-2 » dont la dernière publication remonte à 2003. Elles sont homologuées en fonction de leur résistance aux impacts et doivent supporter au minimum cinq impacts de 50J.

Elle sont classées en deux niveaux :

Pour les protections de niveau 1, la force résiduelle moyenne doit être inférieure à 18 kN (l’impact autorisé pouvant aller jusqu’à 24 kN) tandis que pour les protections de niveau 2, la force résiduelle moyenne doit être inférieure à 9 kN (impact autorisé jusqu’à 12 kN). Si ces chiffres de valeur de force vous semblent obscurs et que les KiloNewton ne représentent rien à vos yeux, retenez surtout que la norme EN 1621-2 est divisée en deux catégories qui ne vous garantissent pas la même absorption des chocs et donc pas le même seuil de protection. C’est à vous qu’il revient de vérifier ces informations auprès de votre vendeur, en outre, elles doivent figurer sur l’étiquette de l’équipement. Vous devrez également retrouver sur celle-ci un petit pictogramme représentant un motard avec du côté de son dos, la lettre « B » signifiant « Back » ou la lettre « L » pour « Lombaires ». Le chiffre qui figure au dessus de cette lettre, 1 ou 2, vous annonce la catégorie de votre protection dorsale.

Protection dorsale externe, intégrée ou semi-intégrée, à vous de choisir !

On distingue trois manières de porter une protection dorsale.

La protection dorsale externe

Dotée de bretelles et le plus souvent de ceinture à scratch, elle se porte directement sur vos vêtements mais sous votre veste ou blouson de moto. Ne vous fiez ni à son allure design ni à sa couleur et encore moins à la marque qui la présente. Poids et épaisseur ne sont pas non plus des gages de solidité ou de fiabilité. Seules les informations figurant sur l’étiquette ou sur la fiche produit doivent en premier lieu vous guider. Une fois passée l’étape de la sélection, il est primordial d’essayer votre protection. Vous devez être libre de vos mouvements et ne ressentir aucune gêne. Les achats en ligne ou par correspondance présenteront toujours ce désavantage, n’hésitez donc pas à vous rendre dans un magasin spécialisé pour essayer la pièce vers laquelle votre cœur balance.

La protection dorsale intégrée :

La protection dorsale peut être intégrée et donc initialement présente dans le blouson ou la veste moto. Dans la majeure partie des cas, cette dorsale est en mousse et ne présente qu’une protection moindre. Ce genre d’équipement est souvent idéale pour les motards qui pratiquent beaucoup de route et qui souhaitent un équipement plus sécurisant que les modèles de base. Il s’agit bien là d’une protection dorsale mais pas d’une protection homologuée EN 1621-2. Elle n’est donc pas acceptée sur circuit. D’autres vestes ou blouson intègrent des protections homologuées. Elle sont généralement moins couvrantes, moins larges, que des protections externes mais sont tout de même un gage de sécurité. Attention en revanche, renseignez-vous à l’avance car certaines organisations, associations, rendent obligatoire le port de protection dorsale externe. Une possibilité qui se transforme en certitude dans la plupart des compétitions.

La protection dorsale semi-intégrée :

Il existe enfin des vestes de moto qui comprennent à l’achat un insert vide au niveau du dos, spécialement conçu pour accueillir une protection dorsale. Étant donné le large choix de protection existant sur le marché, le choix d’une veste à compléter ne vous oblige en rien à prendre l’équipement conseillé par la marque de votre veste, bien que souvent plus pratique et rapide à trouver. Ce choix peut être un bon compromis pour les motards alternant circuit et route. C’est aussi le système le moins coûteux, à partir d’une vingtaine d’euros, à condition de déjà posséder le vêtement prêt à la recevoir.

Les détails techniques qui peuvent éclairer votre choix

Essayer votre protection dorsale, nous l’avons dit, est réellement nécessaire. Bien sûr, vous sentirez ce nouvel élément mais il doit correspondre parfaitement à votre morphologie. Vous devez vous sentir aussi à l’aise debout qu’assis. Une fois les sangles de serrage, à scratch ou élastiquée, correctement réglées, un seul mot d’ordre : bougez ! Ne faites pas seulement les gestes qui vous semblent propres à la conduite de votre moto, levez-vous, marchez, sautez… La protection dorsale ne doit vous gêner dans aucun de ces mouvements et ses liens d’attache ne doivent pas se relâcher. Elle doit rester parfaitement en place. Le poids de votre protection dorsale ne doit pas non plus être un frein à votre liberté de mouvement. Pensez que tout élément perturbant votre équilibre pourrait être dangereux. Enfin, préférez une protection dorsale dont vous pourrez largement régler les liens de serrage, eux-non plus ne doivent pas vous sembler gênants et vous devez les oublier une fois la protection enfilée. A vous de tester les différents types de liens. La protection dorsale moto idéale doit épouser les formes de votre corps, légèrement vêtu en été, comme s’adapter aux multiples couches de vêtements portés en hiver.

Les protections dorsales moto, du modèle de base au produit High-Tech

Les protections dorsales des motards font partie du large éventail des protections disponibles dont les formes et les compositions varient tout autant que les prix. Polymères simples ou matières novatrices, tout est possible. Les protections dorsales, suivant le prix que vous souhaitez y mettre, pourront être plus ou moins couvrantes, englobant colonne, lombaires, épaules et même clavicules. Elle sont majoritairement faites de matières textiles micro-aérées et peuvent même abriter des canaux de ventilation afin d’évacuer toute humidité. La protection dorsale peut être entièrement rigide ou présenter des zones de torsions. Comptez un budget minimum de 50€ pour une protection dorsale basique homologuée et un budget moyen de 100€ pour une protection plus étudiée. Des gilets ou plastrons homologués existent aussi, de quoi vous offrir une protection dorsale et ventrale optimale. Selon la marque et le modèle choisi, la protection résistera plus ou moins bien à une utilisation quotidienne.

Comme nous le rappelons souvent dans nos articles, les éléments de protection du motard sont des choix que lui seul peut faire. Les attentes et le budget que vous accorderez à votre protection dorsale pourront être décisifs en cas de chute. Une nouvelle version, un durcissement de la norme EN 1621-2 devrait bientôt voir le jour. Enfin, n’oubliez pas qu’une protection dorsale, même lorsqu’elle n’est pas obligatoire, est toujours un plus.

Les gants de moto sont l’élément de votre équipement que vous devez choisir avec le plus d’attention. Beaucoup trop de motards font cet achat à la va-vite et le regrettent assez rapidement. Les gants sont l’accessoire que vous porterez été comme hiver, même s’il est un des équipements qui se change le plus facilement. En cas de chute, les gants protègent vos doigts, vos mains et selon les modèles vos poignets. Ils doivent protéger et réchauffer vos mains tout en les laissant libres de leurs mouvements. Trouvez LA paire de gants de moto parfaite nécessite donc une réelle recherche.

Choisir ses gants de moto : voir plus loin que le design

Vous aurez certainement l’occasion de porter plusieurs paires de gants au cours d’une même année. La majorité des motard opte pour une paire de gants chauds pour l’hiver et une paire de gants plus respirants pour l’été. Des gants spéciaux inter-saison existent. Laissez-donc, dans un premier temps, l’esthétique au placard et réfléchissez d’abord à ce que vous voulez vraiment, à ce qui est important pour vous : Gamme de prix ? Matière ? Épaisseur ? Longueur ?

Pour déterminez vos besoins, pensez à l’association gant-veste, notamment pour la matière, l’épaisseur et la longueur mais aussi à ce que vous avez l’habitude de porter, même en dehors de vos trajets en moto. Les gants peuvent être courts et s’arrêter à la base de la main ou au contraire englober tout votre poignet. Évoluer avec des gants est aussi une question d’habitude.

Si vous souhaitez investir dans une seule et même paire, sachez qu’il existe des sous-gants très fins qui, grâce à leur aspect seconde peau, se glissent dans une paire de gants ajustés et offrent tout à la fois chaleur et confort. Vous trouverez des gants dans toutes les gammes de prix, pour tous les goûts mais surtout tous les budgets.Il existe également des moufles de moto à renforts pour les plus frileux ; elles regroupent les doigts et entraîne moins de déperdition de chaleur.

Les bons gants moto : quelle matière pour quels avantages?

Les atouts du cuir : longévité et tradition

Le cuir est une matière naturelle. Il peut provenir d’agneau, vachettes, veaux, buffles, porc, mouton… Il existe autant de types de cuirs que d’animaux dont on utilise la peau. Le cuir d’agneau est le plus souple et le plus doux. Le cuir de veau est plus rugueux, tout aussi souple mais plus résistant. Le cuir de mouton peut être travaillé à rebours, selon que l’on souhaite ou non conserver sa laine et ses pouvoirs thermiques. Chaque cuir offre ses propres propriétés mais il est toujours une matière noble qui conserve parfaitement la chaleur et isole du froid.
Les cuirs utilisés pour les gants de moto sont très souvent des cuirs pigmentés, c’est à dire des cuirs ayant reçu une ou plusieurs couches de colorants opaques ou encore de patine. Ces étapes facilitent l’imperméabilisation et les rend donc plus résistants aux intempéries. Plus le grain du cuir sera épais, plus les gants seront robustes. Le cuir n’aime ni l’eau ni le soleil et seule l’attention que vous lui porterez au quotidien garantira sa longévité.

Les avantage du textile : modernité et technicité

Chaque saison voit naître de nouvelles gammes de tissus, de nouvelles pièces de technologie. Gants connectés, gants chauffants… Il n’est pourtant pas nécessaire d’investir des sommes extra-ordinaires pour obtenir des gants de qualité optimale. Les gants de moto vendus aujourd’hui sont majoritairement en tissu respirant, avec différentes zones de ventilation. Des tissus solides, imperméabilisés ou non, en fibres naturelles ou synthétiques, des tissus souvent enduits de films plastiques de façon à prolonger leur durabilité. Alors que le cuir est un très bon isolant, les gants en textile offrent en été une très bonne alternative entre protection et légèreté.
Notez que la combinaison des deux, cuir et textile, pour vos gants de moto peut présenter tous les avantages à la fois : chaleur, aération, confort et sécurité. Il existe même aujourd’hui des gants avec zones spécialement conçues utiliser des écrans tactiles.

L’accessoire qui doit vous aller… comme un gant

La célèbre expression n’est pas anodine, les gants qui protègent vos mains ne doivent en aucun cas vous gêner dans vos mouvements. Vos mains sont votre guide et il est primordial que vous puissiez bouger avec aisance chacun de vos doigts, notamment votre pouce. Vos gants doivent être à la fois confortables et pratiques. Ils doivent être correctement resserrés à votre poignet et ne pas s’enlever aisément. Même les paires de gants les plus courtes s’attachent au poignet à l’aide d’une bande adhésive auto-agrippante. Dans une paire de gants plus longs et équipés de renforts aux poignets, ceux-ci ne doivent pas non plus vous gêner ; plus encore, ils doivent passer inaperçus. La cas échéant, les frottements et appuis pourraient vous procurer irritations et douleurs.
Sur le dessus de la main, les renforts doivent épouser parfaitement vos mouvement et les différentes courbes de vos os, que votre poignet soit ouvert ou fermé. Le gant ne doit ni vous serrer ni flotter, quelle que soit la position et l’action de votre main. Si vous optez pour des moufles, les conseils à suivre sont les mêmes. Attention également à ne pas négliger les renforts situés à l’intérieur de la paume ; logiquement dépourvues de coques, les paumes des mains et l’intérieur des doigts doivent être très épais car en cas de chute, c’est d’abord avec cette zone de la main que vous tenterez de vous rattraper.
Les gants les plus légers et les moins renforcés semblent souvent visuellement plus confortables, mais souvenez-vous que le confort n’est pas l’unique élément à prendre en compte. Coques de protection, intérieures ou extérieures, coquilles, mousse d’absorption des chocs, pensez qu’en cas de chute, ils sont l’unique protection de vos mains.

Gants de moto, l’importance de connaître sa taille

La meilleure façon de trouver la taille de gant de moto qui vous correspond est d’en essayer un maximum de paires. D’une matière à l’autre, l’espace intérieur du gant varie. Tenez également compte de la morphologie de vos mains. Les gants doivent épouser parfaitement vos mains, il pourrait être dangereux de porter des gants trop grands ou mal ajustés. A l’inverse, une paire de gants trop serrés nuirait à la bonne circulation sanguine de vos mains et vous procurerait rapidement une sensation de froid.
Si vous comptez faire cet achat sur internet, il est préférable de connaître la taille exacte des gants qu’il vous faut et si vous n’avez pas eu l’occasion d’en essayer en boutique, prenez vos mesures. Mesurez le périmètre de votre main juste en dessous de la base de vos doigts, le poing serré. Retirez 11 à ce nombre pour obtenir votre taille. Exemple : si vous mesurez 19cm, (19-11=8) il vous faudra des gants de la taille 8, ce qui correspond au S. (6=XXS, 7=XS, 8=S, 9=M, 10=L, 11=XL, 12=XXL).

Une fois et une fois seulement toutes ces données fixées, vous pouvez vous intéresser à l’apparence et aux couleurs de votre accessoire. Prenez soin de vous renseigner sur les lois en vigueur avant de faire votre achat car il est régulièrement question de rendre obligatoire le port de gants homologués.

Le cuir de mon blouson ?

Vous souhaitez ajouter un blouson en cuir à votre garde-robe ? Vous recherchez une matière plus précisément ? Seul le cuir pourra apporter une touche authentique et véritable à votre tenue ! Vous connaissez certainement les différentes coupes, modèles de blouson … Mais vous hésitez peut-être encore entre l’indétrônable perfecto cuir ou une parka ultra tendance de la maison italienne Silver Storn ? Il existe différentes matières ou plus précisément différentes qualités de peaux ( terme exact dans le domaine du cuir ) utilisées pour la confection d’un blouson cuir.

Savez-vous les distinguer ? Plus simplement, quel est le type de cuir recherchez vous ? Pour quelle occasion et quels sont vos besoins ?

Les particularités de chaque peau

Agneau, mouton, chèvre, vachette, buffle ou porc : Autant de variétés de cuir qui peuvent être utilisées dans la fabrication et l’assemblage de blouson prêt à porter, aussi bien pour l’homme comme que pour la femme. Dans cet article, nous développerons uniquement les peaux, les plus couramment utilisées pour la confection de vêtement cuir fashion. Découvrez les caractéristiques qui les différencient.

Cuir d’agneau

Doux au toucher, l’agneau est fin et léger. Il est notamment utilisé pour la création de vestes qui se veulent souples comme les vestes de mi-saison. L’agneau est utilisé pour la fabrication de nombreux modèles femme en raison de caractéristiques plus adaptées, à la mode féminine et particulièrement pour son poids. ( plus léger que la vachette ) Niveau prix : les modèles confectionnés en cuir d’agneau sont plus élevés, à la différence de son homologue la vachette. Un véritable atout pour des vêtements élégants et cintrés, ce type de cuir s’approchant de la souplesse d’un produit tissu et épouse les formes du corps, à la perfection. Seul bémol, c’est cuir plus fragile et délicat. ( griffure, intempéries … )

Cuir de mouton

C’est également une peau soyeuse, souple mais moins utilisée en raison de son cout. La particularité du mouton est que la peau peut être retournée. C’est à dire que l’intérieur du blouson est fourré de laine de mouton. Cela en fait une pièce exceptionnelle pour la saison hivernale ! Un cuir incontournable dans la confection de blouson de type aviateur.

Cuir de chèvre

La peau de chèvre est fine, résistante et facilement détectable grâce à son aspect légèrement grainé. Atout prédominant : son rapport qualité / prix. La peau de chevreau est peu utilisé dans le domaine du prêt à porter, contrairement à ses principaux rivales : la vachette et l’agneau. Le cuir de chevre existe sous différents aspects : le glazed avec des caractéristiques ciré – glacé, le destroy avec un effet velours …

Cuir de vachette

Selon la saison et le modèle, vous le trouverez épais et lourd ou à l’inverse fin et souple. Pour autant, le cuir de vachette est une peau très résistante, avec un bon indice thermique. Pas forcément agréable dés les premières utilisations, mais le cuir se casse au fur et à mesure des jours ou semaines, un peu comme un jeans neuf, brut.Plutôt adapter au climat hivernal et pour les hommes, en raison de sa robustesse et de son poids. Selon le tannage, il peut cependant ressembler à un cuir de buffle. La vachette est la peau la plus utilisée pour la confection de vêtement de protection pour le motard.

Cuir de buffle

Typiquement masculin car très lourd  il est notamment utilisé pour les longs manteaux pour homme. C’est une peau très résistante qui a une très longue durée de vie. Le buffle est un des cuirs ayant le meilleur rapport qualité / prix et ce type de peau vous permettra d’acheter un cuir de bonne facture à prix attractif.

Cuir de porc

Il se caractérise par son aspect velours et son côté économique. Vous le reconnaîtrez facilement par son aspect visuel. Il est plus souple qu’un cuir classique, plus fragile et demande un entretien particulier contrairement aux peaux. Facilement reconnaissable en raison sa texture externe constituée de petits points, attention il existe différentes sorte de peaux de porc : porc velours* , sous croûte de porc, cuir de porc … et son aspect peut être trompeur si bien au toucher, qu’au visuel. (*Peaux ayant subi un finissage sur l’envers « côté chair » pour lui donner l’aspect du velours)

Cuirs inaccessibles

Fan des blousons de Florent Pagny ? Et si, seulement si vous avez un gros budget ( compter au minimum 12.000€ ) vous aurez peut être la possibilité de vous orienter, vers un cuir d’animaux exotiques tels ; que kangourous, crocodiles, serpents …

Où acheter son blouson en cuir ?

S’il est important qu’un spécialiste vous guide dans l’entretien de votre cuir,  il est tout aussi important d’acheter son blouson cuir chez un expert. Avec la connaissance des différentes matières, de la qualité des peaux utilisées et des procédés de fabrication, un spécialiste du blouson cuir comme notre eshop, vous permettra de ne pas faire de faux pas, dans le choix et la sélection de votre futur achat. Vous retrouverez une large sélection de veste prêt-à-porter exclusivement en cuir, avec l’assurance d’un article de qualité et confectionné avec savoir-faire authentique. Grâce à un catalogue de plus centaine de vêtements en cuir, dont des centaines de blousons cuir mode pour homme, femme et également une gamme de blouson de protection pour le motard, vous assurez également d’acheter, par ce canal : un cuir véritable et non une pâle imitation de type simili-cuir. De plus  vous bénéficiez de conseils et de garanties de spécialistes.

La marque de doudoune Silver Storn reste un produit incontournable, parmi toutes les marques de parka homme et blouson capuche fourrure proposées sur le marché.
Pourquoi ? Car elle répond parfaitement aux attentes et aux critères des personnes recherchant la doudoune idéale.

Mais pourquoi faire le choix d’une parka fourrure de marque Silver Storn ?

1 – L’élégance Sylver Storn

La doudoune a longtemps été «boudée » par les femmes. La raison principale était que ce vêtement ne les mettait pas en valeur et qu’il était grossissant.

Or, les doudounes Silver Storn allient le pratique à l’élégance. Les coupes sont très féminines. Les différents modèles proposés épousent les formes du corps.

Chez les hommes, les modèles sont très flatteurs. On peut aussi bien les porter avec un costume en journée, qu’avec une tenue plus décontractée le soir.

2 – Le respect de la mode à l’Italienne

Ces doudounes sont tellement belles qu’elles restent intemporelles et s’adaptent parfaitement à la mode actuelle.

3 – L’originalité des modèles Silver Storn

Ce sont des modèles originaux qui ne ressemblent à nul autre modèle. Certains ont la fermeture cousue transversalement. D’autres sont pourvus d’empiècements de cuir. Le modèle Emily, par exemple a une jolie ceinture de cuir appliquée dans le dos.

Vous aurez ainsi l’impression de posséder des modèles uniques.

4 – La Qualité des Matières

Les matières qui les composent sont de qualité supérieure : du cuir d’agneau véritable, de la fourrure épaisse de Racoon (petit raton laveur) ou de renard.

5 – Doudounes Sylver Storn adaptées à tous les styles

Chaque modèle proposé est différent. Selon son style, chacun peut y trouver son bonheur.

Le modèle Val D’isere, chez la femme est assez sportwear tandis que le modèle Tigne est plus chic.

6 – Les détails

Chaque modèle est agrémenté d’une finition originale. Par exemple, le modèle Mont-Blanc  pour homme est doté de serre poignées sur les manches.

7 – Le Choix des Couleurs

Les modèles sont déclinés en différents coloris. Les modèles courts sont souvent disponible en plus de six teintes.

8 – La Légèreté

Elles sont très légères et laissent ainsi plus de liberté, dans les mouvements.

9 – Résistance au froid

Le rembourrage est en ouate de coton qui est connue pour ses propriétés isolantes. Vous serez donc parfaitement protégés contre les hivers rigoureux.

10 – Sylver Storn : Des produits de luxe

Pour conclure, toutes ces qualités réunies font de ces vêtements des articles d’exception. Les finitions sont remarquables, les modèles sont bien coupés. Ce sont ainsi de véritables bijoux qui allient parfaitement le confort à l’esthétisme et que vous aurez donc plaisir à porter.

Retrouvez toute la collection Silver Storn sur notre e-shop.